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Mis à jour: 11 juillet 2025
Pourtant, pourquoi le cacher? parmi ces souvenirs, un seul dominait tous les autres: c'était celui de M. de Lancry valsant avec madame de Richeville une valse de Weber. Cet air, assez mélancolique, me revenait sans cesse
Madame de Richeville m'écrivait souvent. Lorsqu'elle avait vu mon mari arriver
Le soir, lorsque Gontran revint de la chasse, je lui appris la visite de madame de Richeville. Il y parut assez indifférent. Je lui donnai ensuite la lettre de M. Sécherin, qui annonçait la prochaine arrivée de ma cousine. M. de Lancry me répondit froidement qu'il en était très-satisfait, parce qu'Ursule me tiendrait compagnie.
Malgré ma tendre affection pour madame de Richeville, je désirais de la voir sortir, je sentais la force factice qui m'avait jusqu'alors soutenue m'abandonner. A peine la duchesse m'avait-elle quittée, qu'épuisée par les émotions de la journée, je me sentis défaillir; bientôt je tombai presque sans connaissance entre les bras de ma pauvre Blondeau.
La duchesse secoua tristement la tête, et me dit: Elle a tant fait pour vous!... Oui, vous dites vrai... elle n'a jamais tant fait pour votre malheur. De ce moment, je crus deviner le sujet de la visite de madame de Richeville.
Madame de Richeville entra un matin chez moi et me dit en m'embrassant: Vous me voyez folle de joie. Vous êtes l'héroïne d'un fait inouï, incroyable; on vous aime, on vous admire au del
Permettez-moi une question, monsieur, savez-vous la démarche que madame de Richeville a faite auprès de moi avant mon mariage? M. de Rochegune me regarda avec surprise, et me dit avec l'accent le plus sincère: Je ne sais, madame, de quelle démarche vous voulez parler. Veuillez continuer, monsieur, dis-je
Emma regarda autour d'elle avec étonnement, se jeta rouge et confuse dans les bras de madame de Richeville, lui prit la main, qu'elle posa sur son sein en lui disant avec une grâce enchanteresse: Pardonnez-moi, je suis folle, mais je n'ai pu réprimer ce mouvement; sentez mon cœur, comme il bat. En effet, son cœur battait
Lorsque madame de Richeville m'eut nommée, M. de Rochegune s'inclina respectueusement de mon côté. Je ne l'avais pas revu depuis la scène de reconnaissance dont j'avais été témoin chez lui avec ma tante et Gontran; il me semblait très-changé; un sourire douloureux donnait un caractère singulièrement triste
Elle prit son petit lorgnon d'écaille, et m'examina avec une curiosité qui me sembla malveillante. J'étais au supplice. Ma tante n'avait pas perdu un mot de cette conversation. Voyant le lorgnon de la duchesse de Richeville encore tourné sur moi, elle parut choquée, et lui dit de sa place, d'une voix aigre et impérieuse: Madame la duchesse, n'est-ce pas que ma nièce est charmante?...
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