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Mis à jour: 26 juillet 2025


En disant cela, Calistus Munbar est si chaleureux que ses auditeurs en sont impressionnés. Il parle de Saint-Saëns, de Reyer, d'Ambroise Thomas, de Gounod, de Massenet, de Verdi, et des chefs-d'oeuvre impérissables des Berlioz, des Meyerbeer, des Halévy, des Rossini, des Beethoven, des Haydn, des Mozart, en homme qui les connaît

Du moins, est-il vrai que les morts ne reviennent guère, depuis qu'on a bouché la caverne de Dungal qui communiquait avec l'autre monde. Sans quoi, il serait venu, notre Flaubert, il serait venu maudire MM. du Locle et Reyer.

Il n'en était pas de même pour celle de certains confrères que Reyer trouvait insupportable et pour laquelle il eut, un soir, cette remarque imagée: «Je viens de rencontrer dans les escaliers la statue de Grétry qui en avait assez et qui filait...»

A ce propos, quelques vers du toujours si spirituel Ernest Reyer me reviennent

Sera-t-il permis de faire remarquer qu'avec tout l'œuvre de Berlioz, les oratorios et les pièces symphoniques de Gounod et de M. Massenet, les œuvres de Bizet, de Léo Delibes, de Lalo, de Godard, de Mmes de Grandval et Holmès, d'autres encore que je pourrais nommer, celles, si captivantes, des orientalistes, Félicien David avec son Désert magique et M. Reyer avec son délicieux Sélam les œuvres éclos sous l'inspiration du Grand Concours de la Ville de Paris, nous avons tout un répertoire français qui n'est pas tant

Il vous étonne, mes chers enfants, de n'avoir jamais vu jouer cette œuvre de Reyer. En voici le sujet raconté par lui-même, avec un sérieux des plus amusants dans l'un de nos dîners mensuels de l'Institut,

Pendant plus de trente ans, Ernest Reyer fut mon meilleur et plus solide ami. L'Institut, ainsi qu'on pourrait le croire, ne modifia pas sensiblement ma situation. Elle resta d'autant plus difficile que, désirant avancer la partition d'Hérodiade, je supprimai plusieurs leçons qui comptaient au nombre de mes plus sûres ressources.

Je crois voir encore Reyer, dans les coulisses, durant certaines représentations, trompant la vigilance des pompiers, fumant d'interminables cigares. C'était une habitude qu'il ne pouvait abandonner. Je lui entendis, un jour, raconter que, se trouvant dans la chambre de l'abbé Liszt,

Qu'ont-ils bien pu boire, ces malheureux, pour être si tristes? Et Maurice Leblanc, duquel j'aurais attendu une toute autre réponse, suppose: Peut être bien des chopines Auër. ... Toulon! Je me suis tenu parole. Arrivé le soir. On donnait Sigurd au Grand-Théâtre. J'adore sacrifier au Grand Art, en général, et au père Reyer, en particulier. Je me suis donc envoyé les deux premiers actes de Sigurd.

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