Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 2 mai 2025


Il fallait séduire les patriotes, les républicains: il abolit la noblesse féodale, et déclare que le trône est fait pour la nation, et non point la nation pour le trône. Il fallait tranquilliser les acquéreurs de domaines nationaux: il chasse les émigrés non rayés, et reprend leurs biens; plaire aux pauvres et aux paysans: il restitue aux hospices et aux communes les biens dont on les avait dépouillés; flatter la garde et l'armée: il expulse de leurs rangs les étrangers, les émigrés, licencie la maison du roi, et rend

»F. cardinal RUFFOLe cardinal espérait ainsi sauver les républicains. Mais, par malheur, ceux-ci, dans leur aveuglement, tenaient Ruffo pour leur plus cruel ennemi. Ils crurent donc que sa proposition cachait quelque piége; et, après une délibération, dans laquelle Salvato insista vainement pour que l'on acceptât la proposition de Ruffo, on résolut,

La bataille commença sur les onze heures du matin. Les Vendéens attaquèrent vivement. Les républicains avaient deux pièces de canon sur une hauteur en avant. M. Stofflet, qui se trouvait

M. Haudaudine était un honnête négociant de Nantes, zélé républicain, mais vertueux et de bonne foi; il avait renouvelé le trait de Régulus. M. de Charette l'avait fait prisonnier; il obtint de retourner chez les républicains, avec un autre Nantais, pour leur proposer de ne plus fusiller les prisonniers, et de consentir

Un seul groupe de républicains se rallia autour de l'arbre de la liberté, et s'y fit tuer depuis le premier jusqu'au dernier. L'arbre fut abattu comme ses défenseurs, coupé en morceaux, mis en bûcher, et servit

Quant au parti royaliste et au parti national, que les utopistes nourrissaient l'espoir de réunir en un seul, tout était trouble chez eux, et le roi ne savait pas plus les concessions qu'il devait faire que le peuple les droits qu'il devait exiger. Le programme des républicains était simple et clair: Le gouvernement du peuple par le peuple, c'est-

Nous ne pouvons nous passer de vous; sachez-le, les confédérés comptent sur votre nom; François Ier lui-même attend de vous un mouvement en faveur de la liberté. Il vous écrit comme au chef des républicains florentins; voil

«Les accusés étaient au nombre de quarante-sept, la plupart inconnus les uns aux autres; ils remplissaient les gradins élevés en face de ceux siégeaient les juges. Chaque accusé était assis entre deux gendarmes; ceux qui étaient auprès de Moreau montraient de la déférence dans toute leur attitude. J'étais profondément touchée de voir traiter en criminel ce grand capitaine dont la gloire était alors si imposante et si pure. Il n'était plus question de république et de républicains: c'était, excepté Moreau qui, j'en ai la conviction, était complétement étranger

»Jean Coq et Jean Mouton sont républicains. Jean Coq vote,

Donc que les amis de l'alliance anglo-française ne prennent pas le change sur mes paroles. Plus que qui que ce soit, j'y insiste, nous républicains, nous voulons ces alliances; car, je le répète, l'union parmi les peuples, et, plus encore, l'unité dans l'humanité, c'est l

Mot du Jour

agenouillons

D'autres à la Recherche