Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 6 juin 2025


Pour moi, je ne me suis jamais senti plus solide. Regarde-moi et donne-moi nettement ton avis...

OTHELLO. J'ai dans cette chambre une autre épée; c'est une épée d'Espagne, de la trempe de l'Èbre . Ah! la voici. Mon oncle, il faut que je sorte. GRATIANO, en dehors. Si tu le tentes, il t'en coûtera cher: tu n'as point d'armes, il faut que tu te soumettes de force. OTHELLO. Regarde-moi donc, et me parle; ou, désarmé comme je suis, je vais fondre sur toi. GRATIANO. Que veux-tu?

Tu pleures, enfant! dit le vieillard. Oui, je pleure, répondit Paul, et pourquoi le cacherais-je? oui, regarde-moi. J'ai cependant vu de terribles choses dans ma vie! J'ai vu l'ouragan faire tourbillonner mon vaisseau au sommet des vagues et au fond des abîmes, et j'ai senti qu'il ne pesait pas plus

Pendant ce temps, j'embrassais Ilucha et lui faisais mes souhaits. C'est juste, Foma, reprit mon oncle, j'avais oublié, mais je t'en demande pardon, tout en étant très sûr de ton amitié, Foma!... Embrasse-le donc encore une fois, Sérioja et regarde-moi ce gamin! Allons, commence, Ilucha. De quoi s'agit-il? Ce doit être une ode solennelle... de Lomonossov, sans doute?

Il était neuf heures du matin, lorsque Valentine s'entendit réveiller par une petite voix qui lui disait assez bas: «Ma tante, dormez-vousAh! c'est toi, ma chère Isaure! viens, que je t'embrasse. Je n'y vois pas, je vais appeler Antoinette pour ouvrir les volets.» A peine Antoinette est entrée, qu'Isaure est sur le lit de sa tante qui la serre dans ses bras. Comme tu es grandie depuis six mois, chère enfant; regarde-moi un peu! Tu as les mêmes yeux que ton père! Oh! cela n'est pas possible, ma tante, car M. d'

Ce pauvre vieux! comme il a maigri! Regarde-moi donc ce bras comme il s'est rapetissé! Ce n'est plus les doigts d'un ouvrier, mais ceux d'un monsieur de banque. Il a les yeux cernés comme un défunt... pas une goutte de sang

Eh oui, tonnerre! s'écria Marcof en avançant. La figure du marin se trouvait alors en lumière. Piétro poussa une exclamation joyeuse. Marcof! s'écria-t-il. Tais-toi! répondit le marin en tirant son poignard. Ne me reconnais-tu pas? Mais regarde-moi donc! disait le geôlier tremblant de joie. Quoi! tu ne veux pas reconnaître Piétro le Calabrais? Piétro? Lui-même.

J'en saute de joie! Regarde-moi si je saute! Et tu sais, je n'en ouvre la bouche

Le baron de Batz, qui n'était pas un ignorant, dit: Ia! andibadie! Ia! Ia!... Tôminazion tiapolique!... sacramente! Maintenant, reprenait le bossu, tourne-toi vers moi... tout d'une pièce... lentement... lentement... Il se leva et la domina du regard. Lève-toi, poursuivit-il, comme un automate... Bien!... regarde-moi... Fais un pas... et laisse toi tomber dans mes bras.

Souvent nos dards retombent sur nous-mêmes. Regarde-moi longtemps: et que ton avenir S'épure d'un amer et tendre souvenir; Comment me trouves-tu? Belle comme une mère!

Mot du Jour

l'égaierait

D'autres à la Recherche