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Mis à jour: 18 juillet 2025
«Cependant un ecclésiastique, recteur de l'université de Palma, assure, dans la troisième partie d'un ouvrage sur la religion séraphique, que des Juifs fugitifs, du temps de Vespasien, retirèrent cette fameuse horloge des ruines de Jérusalem et la transportèrent
Un murmure d'indignation accueillit ces paroles. Silence dans les rangs! commanda le brigadier. A moins qu'il n'y en ait parmi vous qui aient envie que je leur lie les pouces et que je les emmène avec moi. Les paysans se regardèrent, mais personne ne répondit. Voyons, continua le gendarme en s'adressant au recteur; répondez, l'ancien! Que me voulez-vous?
Notre recteur! notre recteur! hurla la foule. Le lieutenant commença alors les sommations. Les paysans ne reculèrent pas. Chargez! commanda le gendarme exaspéré par cette froide résistance.
Ce maigre repas achevé, on s'assied autour de la bûche traditionnelle, et la veillée se passe en prières. A Mohon, où j'ai été trois ans recteur, avant de partir pour la messe de minuit, on tient
La peinture des moeurs bretonnes est naturellement plus détaillée et plus forte encore. Décrire les moeurs a toujours été le triomphe de Balzac: le jeune romancier inaugure brillamment sa carrière. L'esprit de toute une province revit dans les Chouans. Enthousiasme religieux poussé jusqu'au plus aveugle fanatisme, la cause de la Bretagne confondue avec la cause même de Dieu, des gars qui attendent avec impatience la fin de la messe pour aller envoyer dans les corps des bleus les balles que le recteur a bénies, les femmes mêmes et les jeunes filles prêtant leurs sourires et leurs grâces
Le cortège se mit en marche: Guillot conduisant l'ânesse avec les victuailles, et faisant assez piteuse mine; Rabelais, en costume ecclésiastique, tenant par la main l'enfant, qui avait honte de se montrer, nu-pieds et tête nue, auprès du curé de Meudon. On regardait, en effet, avec surprise, ce bizarre cortège. Un page de la maison de Lorraine arriva, sur ces entrefaites, et resta confondu, en voyant M. le Recteur, ainsi qu'on le qualifiait au château, donner la main
Une fois dans la chapelle, et en présence du recteur et des nombreux assistants, les deux aventuriers, car désormais nous devons leur donner ce titre qui, le lecteur l'a deviné sans doute, leur convient de tout point, les deux aventuriers crurent nécessaire de jouer une comédie larmoyante.
Nous avons dit combien le marquis était adoré dans le pays; cette vive affection explique cette grande douleur. Enfin le bidet fut amené. Le recteur l'enfourcha aussi vivement que possible, et suivant le piqueur, suivi lui-même par une partie des hommes du village, il se dirigea rapidement vers le château de Loc-Ronan.
Le recteur réfléchit pendant quelques secondes. Il allait parler, lorsqu'une ombre opaque vint s'interposer entre la lueur jetée par le feu qui brûlait sur la grande place et la petite fenêtre auprès de laquelle causaient les deux vieillards. Un homme, caché sous l'appui de cette fenêtre et qui avait tout entendu, s'était dressé brusquement. Le recteur fit un mouvement de surprise.
Le général Wolf: Au génie, dans la personne de Victor Hugo. Paul Meurice: A la ville de Besançon. M. Beauquier, député: A Victor Hugo, président de la république des lettres. Après les toasts, de beaux vers de M. Grandmougin, enfant de Besançon comme Victor Hugo, lus par M. le recteur, ont été salués d'unanimes applaudissements.
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