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Mis à jour: 27 juin 2025
C'est orgueilleux peut estre, À peine de fleschir & de se reconnoistre. Et d'autant que vos voeux ne sont pas achevez, Vous dites avoir faict plus que vous ne devez. Il est vray qu'on fait trop pour un esprit coupable, Alors qu'il ne veut pas se rendre raisonnable, Et qu'au mesme moment qu'il refuse
Et mon juste couroux te fera reconnoistre Que je suis malgré luy ton Seigneur, & ton Maistre: Despeschez, Aquillin, qu'on l'oste promptement, Et qu'on l'aille esgorger aux yeux de son Amant. Fin du quatriesme Acte. Anthenor. Luciane. Aristide.
C'en est fait, chere Rome, il faut rendre les armes, Et tascher d'espargner ton sang avec tes larmes; Il faut s'humilier aux pieds d'un Empereur, A ce nom seulement je frissonne d'horreur: Mais quoy le sort le fait, ce grand Maistre des choses Veut voir ton changement dans ses metamorphoses. Flechy donc, grande Reyne, & ne t'offenses pas D'un conseil que je donne, & que je ne prens pas, Mon dessein y resiste, & je veux mourir libre, Puis qu'il plaist au Destin que je cesse de vivre; Mais apres un eschet si grand & si fatal N'idolastre jamais les autheurs de ton mal, Tesmoigne leur plûtost qu'il n'est rien de si rude Que le joug insolent qui fait ta servitude; Et peut-estre qu'un jour Brute ressuscité Te rendra le bon-heur avec la liberté: Et vous, mes chers amis premiers dans mon estime, Monstrez en cét endroit que l'honneur vous anime, Et que l'injuste effort d'un insolent vainqueur Ne vous a pas osté la force ny le coeur: Mais sur tout que la foy que vous m'avez jurée Au dela du bon-heur peut porter sa durée, Je ne desire pas que vous trempiez vos mains Dans le barbare sang de nos Tyrans Romains: Je ne demande pas que vous alliez en Thrace Pour refaire une armée, & choquer leur audace; Ce seroit vainement heurter contre le sort, Mais je veux seulement qu'on me donne la mort, C'est par cette action que je dois reconnoistre Qui de vous ayme mieux le salut de son Maistre: Comment
Goulart fait connaître, d'après Wier «les convulsions monstrueuses et innombrables advenues aux nonnains du couvent de Kentorp en la cote de la Marche près Hammone. Un peu devant leurs accès et durant celui, elles poussoient de leur bouche une puante haleine, qui continuoit parfois quelques heures. En leur mal aucunes ne laissoient d'avoir l'entendement sain, d'ouïr et de reconnoistre ceux qui estoyent autour d'elles, encore qu'
C'est ainsi qu'autresfois n'osant vous declarer L'ardeur qui me faisoit sans cesse souspirer, Mes yeux & mes transports vous firent reconnoistre Bien mieux que mes discours que vous l'avez fait naistre.
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