Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 25 juin 2025
Tu n'as pas osé!... C'est égal, elle le sait. Cette petite est pleine d'esprit... elle a vu cela d'abord.... Elle doit être contente de te plaire, car tu n'es pas le premier anabaptiste venu, toi.... Tu représentes quelque chose de comme il faut; je te dis que cette petite doit être flattée, qu'elle doit s'estimer heureuse de penser qu'un monsieur de la ville a jeté les yeux sur elle, un beau garçon, frais, bien nourri, riant, et même majestueux, quand il a sa redingote noire, et ses chaînes d'or sur le ventre; je soutiens qu'elle doit t'aimer plus que tous les anabaptistes du monde. Est-ce que le vieux rebbe Sichel ne connaît pas les femmes? Tout cela tombe sous le bon sens! Mais, dis donc, as-tu seulement demandé si elle consent
Je radote... c'est toi qui radotes, épicaures; pour tout le reste, tu parais avoir assez de bon sens, mais sur le chapitre du mariage, tu es un véritable fou. Bon, maintenant c'est moi qui suis le fou, et David Sichel l'homme raisonnable. Quelle diable d'idée possède le vieux rebbe, de vouloir marier tout le monde? N'est-ce pas la destination de l'homme et de la femme?
Fritz voyant que tout le monde l'observait, comprit l'imprudence qu'il venait de commettre. Le vieux rebbe David surtout ne le quittait pas de l'oeil, et semblait vouloir lire au fond de son âme. Quelques instants après, le père Christel s'étant écrié pour la vingtième fois: «Mais, monsieur Kobus, il se fait tard, on m'attend; Orchel et Sûzel doivent être inquiètes.»
Le temps ne lui durait pas. Comme il se rapprochait ainsi de Hunebourg, tout rêveur, le vieux rebbe David, revêtu de sa belle capote marron, et Sourlé, coiffée de son magnifique bonnet de tulle
En parlant ainsi, le vieux rebbe semblait tout ému; le gros percepteur Hâan le regardait, les yeux écarquillés, et Iôsef, de temps en temps murmurait des paroles confuses. «Que penses-tu de cela, Iôsef? dit
Fritz, s'étant redressé tout surpris, car ces trois arpents lui appartenaient, le vieux rebbe levant le doigt, dit en souriant: «Rappelle-toi, Kobus, rappelle-toi notre discussion sur le mariage,
Cette explication exaspéra tellement le vieux rebbe, qu'il déclara que Kobus méritait d'être pendu.
En veux-tu encore un verre? Merci, il ne faut pas abuser des bonnes choses, comme disait mon père; je reviendrai.» Alors, ils étaient réconciliés. Le vieux rebbe reprit en plissant les yeux avec malice: «Et qu'est-ce que tu as fait l
Posché-isroel, répondit Kobus, posché-isroel!» Il haussa les épaules, joignit les mains d'un air de pitié, et s'en alla. «David, criait Sourlé dans la cuisine, le dîner est prêt, mets donc la table.» Mais le vieux rebbe, ses yeux fins plissés d'un air ironique, suivit Fritz du regard jusque hors la porte cochère; puis il rentra, riant tout bas de ce qui venait d'arriver.
Il ne s'interrompait de temps en temps que pour s'écrier: Crois-tu sérieusement qu'elle m'aime, David? Oui... oui... elle t'aime, faisait le vieux rebbe, les yeux plissés. En es-tu bien sûr? Hé! hé! hé! ça va sans dire.... Mais alors donc,
Mot du Jour
D'autres à la Recherche