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Mis à jour: 18 juillet 2025


Mme Papofski luttait contre un évanouissement; elle voulut parler, mais a bouche entr'ouverte ne laissait échapper aucun son; elle eut pourtant la pensée confuse que son trouble pouvait être interprété favorablement; cet espoir la ranima, ses forces revinrent; elle s'approcha de sa soeur tremblante: «Pardon, ma soeur, j'ai été si saisie! Le général: avec malice. Et si heureuse!

La terreur de Remy n'était point dissipée. Le moine s'efforça de le calmer en lui répétant que les formules magiques pouvaient être victorieusement combattues par celles de l'exorcisme. Il s'approcha ensuite du brasier qu'il ranima et engagea le jeune garçon

»Il est encore d'autres témoins, dit-il en étendant le bras vers les juges; voyez cette main déchirée, et les cheveux qu'elle renferme; ce sont ceux du barbare Lalonde. Lorsque ces deux tigres me traînaient expirant, au pied de l'arbre, ils se proposaient de cacher mon cadavre, la nature faisant en moi un dernier effort, se ranima un moment, je saisis d'une main les cheveux de Lalonde, et de l'autre, le bras de Piétreville, mes doigts s'enfoncèrent tellement que le scélérat en porte encore la marque terrible; pour Lalonde, voyant qu'aucune puissance ne pouvait me faire lâcher ses cheveux, il pria son ami de les lui couper avec des ciseaux qu'il portait sur lui. Baudouin, approche; c'est

14. «Le sentiment me revint. étais-je? Froid, engourdi, j'avais une sorte de vertige: battement par battement, la vie ranima un peu mes membres abattus, jusqu'

Son courage se ranima. Il est si bon, si sensible, si généreux! disait-elle en elle-même. Quand il verra combien je l'aime, pourra-t-il me refuser sa tendresse, et ne m'accordera-t-il pas au moins son amitié? Elle s'abandonne

Joe secoua la tête, mais il y avait, dans le ton de ces paroles pleines de chaleur et d'espoir, quelque chose de si encourageant, que son ardeur se ranima sous leur influence; et la jument grise elle-même en parut toute frétillante. Elle interrompit son amble modeste, et, prenant un trot assez doux, elle rivalisa d'allure avec le cheval d'

Calebasse ranima le feu, surveilla l'ébullition de la marmite qui cuisait au coin du foyer, puis se rassit auprès de sa mère. Nicolas n'arrive pas! lui dit-elle. Pourvu que la vieille femme de ce matin, en lui donnant un rendez-vous avec un bourgeois de la part de Bradamanti, ne l'ait pas mis dans une mauvaise affaire... Elle avait l'air si en dessous!

Le 2 janvier, après un état d'épuisement tel que pendant plus de trois heures on penchait l'oreille pour s'assurer si elle respirait encore, elle se ranima tout

Ainsi venait l'automne et les froids avec elle. Mais ce temps enchanteur, cette époque si belle Qu'on appelle au hameau l'été de la Toussaint Ranima le coeur triste et le soleil éteint: L'univers rayonnant et brillant de fraîcheur, Semblait sortir des mains du sage Créateur. On eût dit que l'amour régnait dans tout le monde; Que l'océan chantait pour endormir son onde! Et des accents nouveaux, de magiques concerts Paraissaient s'élever des bourgs et des déserts! Des enfants qui jouaient les voix vives et nettes, Les refrains sémillants des luisantes girouettes Qui criaient dans les airs, sur les toits des donjons, Les doux roucoulements des amoureux pigeons, Les plaintes de la brise et les battements d'ailes Des oiseaux qui volaient au-dessus des tourelles Tout n'était qu'harmonie, ivresse et pur amour! Tout semblait du printemps annoncer le retour! Sur le bord de la mer et des hautes collines Le soleil argentait les limpides bruines; L'océan était d'or: les arbres des forêts Berçant, avec orgueil, les chatoyants reflets De leur manteau safran, ou pourpre ou diaphane, Etincelait de loin comme le fier platane, Quant le Perse idolâtre orne ses verts rameaux De voiles éclatants et de brillants joyaux. Tout respirait la paix, le calme et l'innocence: La nuit dans les vallons descendait en silence, Et l'étoile du soir étincelait encor. Irisant le ciel bleu de ses filandres d'or. Les troupeaux bondissants regagnèrent l'étable En flairant du gazon le parfum délectable. En respirant du soir l'agréable fraîcheur. Devançant les troupeaux, brillante de blancheur, Venait en s'ébattant une grasse génisse, Celle d'Evangéline, avec son beau poil lisse. Sa clochette joyeuse et son joli collier. On vit le jeune pâtre

Oh! ce que vous faites, moi je le sais: vous vous trouvez mal. Et, en effet, Andrée avait lâché le bras du docteur; sa main froide retombait tout le long de son corps; elle s'inclinait, livide et froide. Le docteur la redressa, la ranima, l'encouragea. Andrée alors fit sur elle-même un violent effort.

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