Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 1 juin 2025
Raconte-moi donc tes griefs: je parie que ce ne sont que bagatelles. La vie m'est devenue impossible. Par la faute de qui?
Oui. Eh bien! alors, maintenant, raconte-moi son histoire. Mais je ne t'en ai promis qu'une, histoire; faut aller au dodo. Oui, oui, tout de suite. Joseph et Marie où ils allaient, Maï? J'ai oublié. A Bethléem, donc? Où c'est, Bethléem? Près d'ici?
J'ai les miennes. Que le Seigneur soit béni! je ne me plains pas... Pourquoi me les cacher? Tu n'as plus confiance en moi? Ce n'est pas ta pensée! dit vivement Yvon en saisissant la main du prêtre. Et bien! alors, raconte-moi donc tes chagrins! Tu le veux? Je l'exige, au nom de notre amitié.
Le vieillard stupéfait contemple cette scène; puis, pressentant un mystère, il rappelle l'enfant: Jiro, lui dit-il, quel est le motif de cette étrange conduite? Tu dois avoir des raisons secrètes d'aimer ainsi cet animal. Explique-moi cela, raconte-moi tout! Monsieur, répond Jiro, le visage baigné de larmes, cette truie est ma mère! Ta mère? Comment cela?
Le Hibou-blanc! que lui a-t-il fait! dis donc!... Dic mihi Dameta. Raconte-moi d'abord l'histoire dont tu viens de parler. Volontiers, Baptiste.
Père Ubu: C'est très exact ce que je dis! Et toi tu es idiote, ma giborgne! Mère Ubu: Raconte-moi ta campagne, Père Ubu. Père Ubu: Oh! dame, non! C'est trop long. Tout ce que je sais, c'est que malgré mon incontestable vaillance tout le monde m'a battu. Mère Ubu: Comment, même les Polonais? Père Ubu: Ils criaient: Vive Venceslas et Bougrelas. J'ai cru qu'on voulait m'écarteler. Oh! les enragés!
Plus souvent! répondit le gamin. Je l'ai envisagé de près, puisque je lui ai parlé. Alors, voyons, raconte-moi cela.
L'impur nous a assez tentés avec cette main de marbre que Zaccheo a découverte l'an dernier. Que de malheurs nous ont accablés! Dieu puissant, je crains même d'y songer! Raconte-moi, Grillo, comment l'a-t-il trouvée?
Qu'a-t-il donc fait, mon Dieu? s'écria Louise... Voyons, mon cher Georges, raconte-moi tout cela minutieusement et n'oublie rien, surtout, de ce qui concerne ce pauvre Gustave... J'ai été bien coupable envers lui, et s'il était en mon pouvoir d'adoucir un peu l'amertume de ses souvenirs, je le ferais au prix des plus grands sacrifices.
Mme Simone écoutait, le regard fixe devant elle, puis elle déclara: Non, décidément, le coeur de mon valet de pied ne me paraîtrait pas suffisant. Raconte-moi donc comment tu t'apercevais qu'ils t'aimaient. Je m'en apercevais comme avec les autres hommes, lorsqu'ils devenaient stupides. Les autres ne me paraissent pas si bêtes
Mot du Jour
D'autres à la Recherche