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Ainsi d'abord pensais-je; armé de ton oracle, Ainsi je rabaissais le grand homme en spectacle; Je niais son midi manifeste, éclatant, Redemandant l'obscur, l'insaisissable instant. Mais en y songeant mieux, revoyant sans fumée, D'une vue au matin plus fraîche et ranimée, Ce tableau d'un poëte harmonieux, assis Au sommet de ses ans, sous des cieux éclaircis, Calme, abondant toujours, le coeur plein, sans orage, Chantant Dieu, l'univers, les tristesses du sage, L'humanité lancée aux océans nouveaux... Alors je me suis dit: Non, ton oracle est faux, Non, tu n'as rien perdu; non, jamais la louange, Un grand nom, l'avenir qui s'entr'ouvre et se range, Les générations qui murmurent: C'est lui! Ne furent mieux de toi mérités qu'aujourd'hui; Dans sa source et son jet, c'est le même génie; Mais de toutes les eaux la marche réunie, D'un flot illimité qui noierait les déserts,
Je ne pouvais douter de M. de Rochegune, je ne me rabaissais pas par une fausse modestie; mais... je pressentais vaguement quelque nouveau malheur, quelque coup inattendu... Je ne me trompais pas: ce malheur arriva, ce coup me fut porté... sinon par Ursule, du moins par son influence, comme si cette influence devait toujours m'être funeste.
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