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Le premier en date était Gavantus; René-Jean l'arracha et mit dans la main de Georgette Gavantus. Tous les glossateurs de saint Barthélemy y passèrent. Donner est une supériorité. René-Jean ne se réserva rien. Gros-Alain et Georgette le contemplaient; cela lui suffisait; il se contenta de l'admiration de son public.

À toutes les pontes, elle réserva, pour le public chaque fois confondu, le bris partiel des coquilles, prêtant d'avance,

Il plaça Macdonald auquel il réserva tous les honneurs de la bataille qui devait avoir lieu avec sept mille hommes,

Quoique le capitaine fût un digne appréciateur de la fève d'Arabie, et que celle dont il savourait la flamme liquide lui parût venir directement de Moka, il réserva tous ses éloges pour le petit verre d'eau-de-vie qui l'accompagnait et qu'il compara au meilleur cognac qu'il eût jamais dégusté.

Comme la salle de l'Orangerie eût été trop petite pour les représentions tragiques, on réserva ce genre de spectacle pour le grand théâtre de la ville, l'on n'était admis ces jours-l

Charles se réserva seulement de taquiner sa femme en déclarant qu'il irait seul au spectacle, si personne ne voulait y aller. Le capitaine Wenvorth quitta sa place, et vint s'arrêter comme par hasard devant Anna. «Vous n'avez pas été assez longtemps

L'empereur se réserva de nommer,

Persuadés que notre volumineux attirail de voyage nous valait cette avanie, puisque je venais de faire deux fois cette même route sans rencontrer d'obstacle, nous décidâmes de détruire nos bagages. Mon frère se réserva quelques instruments d'astronomie, et nous commençâmes

De Gourgues divisa ses troupes en deux colonnes pour l'attaque, et marcha, aidé des Sauvages, contre le premier fort. La garnison qui était de soixante hommes, l'ayant abandonné, tomba entre les deux colonnes, et fut presque toute détruite au premier choc. Le second fort fut pris après quelque résistance de la part de ses défenseurs, qui dans leur fuite furent aussi cernés et taillés en pièces. Le troisième fort, la Caroline, était plus grand que les autres, et renfermait deux cents hommes. Le commandant français ayant résolu de l'escalader, avait disposé des troupes autour de la place, lorsque les assiégés firent une sortie avec 80 arquebusiers, ce qui avança leur perte. On les attira par stratagème loin de leurs murailles, et on leur coupa la retraite. Assaillis de tous côtés, ils furent tous tués après avoir offert la plus vigoureuse résistance. Les soldats qui formaient le reste de la garnison, effrayés, voulurent se sauver dans les bois; mais ils tombèrent aussi sous le fer des Français et des Indiens, excepté quelques uns que l'on réserva pour une mort plus ignominieuse. On fit un butin considérable. Les prisonniers furent amenés au lieu les Français avaient subi leur supplice, et Menendez avait fait graver sur une pierre ces mots: «Je ne fais ceci comme

Et alors il fit quatre brigades de sa cavalerie; la première, qui était de mille chevaliers français commandés par Guy de Montfort et le maréchal de Mirepoix; la seconde, qui était de neuf cents chevaliers provençaux et des auxiliaires romains, qu'il se réserva de mener lui-même; la troisième, qui était de sept cents chevaliers flamands, brabançons et picards, et qui fut mise sous les ordres de Robert de Flandres et de Gilles Lebrun, connétable de France; enfin la quatrième, qui se composait de quatre cents émigrés florentins, vieux débris de Monte-Aperto, et que conduisait Guido Guerra, cet éternel ennemi des Gibelins.