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Mis à jour: 20 juin 2025
Je le quittai avec l'assurance qu'il surveillerait le temps comme une mère veille sur le sommeil de son enfant. Ce fut sa propre comparaison. Je le revis
On appelait l'ingénieur. «Monsieur Banks? Que me veut-on? Venez donc.» J'avais reconnu la voix de Banks et celle du mécanicien qui venait d'entrer dans le couloir. Je me levai aussitôt et quittai ma cabine. Banks et Storr étaient déj
Je quittai la prison de la Santé le 17 janvier 1895. J'avais préparé comme d'habitude ma cellule, rabattu ma couchette, et je m'étais couché
Je quittai donc la plate-forme; je rentrai dans l'intérieur; je commençai
Quand je quittai le quai, au moment de prendre la mer, je regardai pour la dernière fois Téhura. Elle avait pleuré plusieurs nuits durant. Lasse maintenant, et triste toujours, mais calme, elle se tenait assise sur la pierre, les jambes pendantes, effleurant de ses pieds larges et solides l'eau salée. La fleur qu'elle portait, le matin,
C'est ainsi que je le quittai, ce fameux Paris que je ne devais plus revoir. Je le laissai vide; il était si rempli quand j'y entrai, pour la première fois! J'étais si jeune alors, j'étais devenu si vieux en peu de temps! Tout ce que j'admirais était tombé! Je laissais dans ces ruines mes illusions, mes espérances, et maintenant je ne pensais plus qu'
«Je vais, au reste, aller le rejoindre, et lui dirai tout ce qu'il faut craindre, ainsi que ce que l'on doit espérer, et je ne doute pas qu'il ne me renvoie ici sous deux ou trois jours.» Je quittai ces messieurs pour m'occuper de mon voyage
Si je ne quittai pas Lyon ce jour même, mon départ ne fut point retardé par de sages réflexions, il le fut seulement par le bruit qui s'était répandu dans la ville que le général Ney n'était pas blessé, mais qu'il avait été fait, prisonnier par les Autrichiens. Alors ma pensée, sans changer d'objet, prit pour quelques instans une autre direction. La veille j'avais tremblé pour ses jours; le lendemain je frémissais en songeant qu'il était pour long-temps peut-être éloigné de sa patrie, séparé de ses amis et de ses compagnons d'armes. Je m'associais
En ce moment je m'éveillai. Les chevaux étaient arrêtés; Savéliitch me tenait par la main. «Sors, seigneur, me dit-il, nous sommes arrivés. Où sommes-nous arrivés? demandai-je en me frottant les yeux. Au gîte; Dieu nous est venu en aide; nous sommes tombés droit sur la haie de la maison. Sors, seigneur, plus vite, et viens te réchauffer.» Je quittai la kibitka.
Pour moi, je ne quittai pas sans regret ces montagnes enchantées; les huit jours que j'ai passés au milieu de ces populations hospitalières resteront comme l'un de mes plus charmants souvenirs.
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