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Mis à jour: 24 juin 2025
«Le 16, je reçus l'ordre d'attaquer les Anglais dans leur position des Quatre-Bras; nous marchâmes
«Au lieu de cela, s'il avait laissé un corps d'observation pour contenir les Prussiens, et marché avec ses plus fortes masses pour m'appuyer, l'armée anglaise était indubitablement détruite entre les Quatre-Bras et Genappe; et cette position, qui séparait les deux armées alliées, une fois en notre pouvoir, donnait
Les fautes des Français furent considérables: ils se trompèrent sur des corps ennemis ou amis; ils occupèrent trop tard la position des Quatre-Bras; le maréchal Grouchy, qui était chargé de contenir les Prussiens avec ses trente-six mille hommes, les laissa passer sans les voir: de l
Il expédia sur-le-champ l'ordre au maréchal Ney, qu'il supposait en marche sur les Quatre-Bras, où il n'aurait trouvé que peu de monde, de chasser vigoureusement devant lui les Anglais, et de tomber ensuite
Une seule fois, aux Quatre-Bras, il lui avait dit: «Très bien, Orso; mais de la prudence.»
Ney, s'étant porté aux avant-postes des ennemis, avait successivement enlevé leurs positions. Tout semblait perdu pour les alliés, lorsque la division anglaise, débouchant aux Quatre-Bras, changea
Le 19 juin cent coups de canon des Invalides avaient annoncé les succès de Ligny, de Charleroi, des Quatre-Bras; on célébrait des victoires mortes la veille
Plus d'un brave soldat du *e, si cruellement éprouvé dans les deux journées meurtrières de Waterloo et des Quatre-Bras, passa l'automne
En compagnie du sergent dont la blessure était presque cicatrisée, Osborne partit pour Waterloo et les Quatre-Bras. Les Anglais s'y rendaient alors par caravanes; M. Osborne fit monter le sergent dans sa voiture et parcourut le théâtre du combat en recueillant de sa bouche les détails de ces sanglantes journées. Il vit l'endroit où, le 16, le *e régiment était venu se mettre en ligne de bataille, l'éminence d'où il avait arrêté la cavalerie française qui chassait devant elle les Belges en déroute. Ici c'était la place où le brave capitaine avait abattu l'officier français qui voulait arracher le drapeau aux mains du jeune enseigne, au moment où les sergents préposés
La prise et le pillage des bagages de l'armée avaient suspendu instantanément la poursuite de l'ennemi. Il nous rejoignit aux Quatre-Bras, et tomba sur nos équipages. En tête du convoi marchait le trésor, et après lui notre voiture. Cinq autres voitures qui nous suivaient immédiatement, furent attaquées et sabrées. La nôtre, par miracle, parvint
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