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Mis à jour: 22 juin 2025
«On dit souvent: les opéras sont comme les jours, ils se suivent et se ressemblent. Il serait plus exact de dire, tout en conservant la même comparaison, qu'ils se suivent et ne se ressemblent pas. Nous avons, en effet, les belles journées d'été, radieuses, calmes, splendides, pleines d'harmonies et de lumières, pendant lesquelles la création semble n'être qu'amour et que bonheur; le rossignol caché dans le bosquet, l'alouette perdue dans l'azur du ciel, le grillon sous l'herbe, l'abeille sur la fleur, le laboureur
Quel ami dans un précipice Nous joint sans espoir de retour, Et ne sent quelque sacrifice Où la mère ne sent qu'amour? Lequel n'espère un avantage Des échanges de l'amitié? Que de fois la mère partage Et ne garde pas sa moitié!
Laisse-moi, continua-t-elle, je veux raisonner avec toi, de peur de l'oublier... Dès que je te vois, tous les devoirs disparaissent, je ne suis plus qu'amour pour toi, ou plutôt, le mot amour est trop faible. Je sens pour toi ce que je devrais sentir uniquement pour Dieu: un mélange de respect, d'amour, d obéissance... En vérité, je ne sais pas ce que tu m'inspires.
Nous avons, des premiers jours de ces amours, des vers charmants, composés par Diane elle-même pour Henri; ils semblent écrits au lendemain de la chute; il est difficile de rien trouver de plus frais et de plus coquet: Voici vraiment qu'Amour, un beau matin, S'en vint m'offrir fleurette très-gentille. L
«Et voici ce que je veux plaider: qui met son espoir en amour ne devrait guère tarder, tant qu'amour a des loisirs; car bientôt les cheveux blonds se changent en cheveux blancs, comme la fleur change de couleur sur la branche...» Telle est la première partie du récit, la première scène de la petite comédie imaginée par le poète. En voici la seconde.
Pitié seroit, se Dame telle Qui doit tout honneur desirer, Failloit de tenir la querelle De bien et loyaument amer; Son sens lui scet bien remonstrer Toutes les choses que je dy, Et ce qu'Amour nous fist jurer Quant me donna le don d'amy. Loyaulté, vueilliez asseurer Ma Dame que sien suy, ainsi Qu'elle me voulu commander, Quant me donna le don d'amy.
Vous me dites mon coeur contraindre Pour qu'Amour ne le puisse atteindre. Pensez-vous qu'il puisse accepter Voir contraindre un coeur et dompter Qu'il retient tout en sa puissance? Vous me voyez dans l'impuissance.
Oultre plus, mon cueur demanday, Qu'Amour avoit eu longuement, Car en gaige le lui baillay, Quant je me mis premierement En son service ligement; Il me dist que je le rauroye, Sans refuser aucunement, Pour en faire ce que vouldroye.
Narcisse qu'Amour sut étreindre, Et tant fit pleurer et se plaindre Quand il le tint en son réseau,
Madame, amour et repos peuvent-ils habiter en même cœur? La pauvre jeunesse est si malheureuse aujourd'hui, qu'elle n'a que ce terrible choix: amour sans repos, ou repos sans amour. ROSINE, baissant les yeux. Repos sans amour... paroît... Ah! bien languissant. Il semble, en effet, qu'amour sans repos se présente de meilleure grace; et pour moi, si j'étois femme..... ROSINE, avec embarras.
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