Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 5 mai 2025
Le crédit de Spéranski n'était qu'ébranlé: pour l'abattre, une grande intrigue fut combinée. Armfeldt s'en fit naturellement le chef: il se ligua avec des Russes en faveur croissante auprès du maître, le ministre de la police Balachof, le violent Araktchéef. On se procura des lettres écrites par Spéranski: celui-ci avait le grand tort, dans sa correspondance intime, de s'exprimer en termes déplacés et inconvenants sur le monarque auquel il devait tout et qui l'honorait d'une affection sincère: il le dépeignait frivole et vaniteux, amoureux de sa figure, consacrant
Cependant Tête d'or est blessé. On le croit mort et on l'étend dans la nuit non loin de l'arbre dont les branches tombantes cachent la reine agonisante. Elle se réveille de sa douleur, elle crie; Tête d'or sort de la mort, se traîne, arrache les clous. La princesse délivrée lui pardonne et l'aime, mais Tête d'or veut mourir seul, comme un roi, sans espoir et sans amour. Héros sauvage, il chante un chant de mort: Ah! je vois du nouveau! Ah! Ah! O soleil! Toi mon Seul amour! A gouffre et feu! ô sang, sang, ô Porte! Or, or! Colère sacrée! Je vois donc! O forêts roses, lumière terrestre qu'ébranle l'azur glacé! Buissons, fougères d'azur! Et toi, église colossale du flamboiement, Tu vois ces colonnes qui se dressent devant toi pousser vers toi une adoration séculaire! Ah! ah! cette vie! Verse un vin âpre dans la souffrance! Emplis de lait la poitrine des forts! Une odeur de violettes excite mon âme
Ainsi, dans le Barbier de Séville, je n'avais qu'ébranlé l'Etat; dans ce nouvel essai, plus infâme et plus séditieux, je le renversais de fond en comble. Il n'y avait plus rien de sacré si l'on permettait cet ouvrage.
Mot du Jour
D'autres à la Recherche