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Mis à jour: 14 juillet 2025


Il vida son verre, et le jeta par-dessus sa tête. Il ne sera jamais profané par une autre santé ajouta t-il. Chacun suivit son exemple; et, au milieu du bruit des verres qui se brisaient et des applaudissements de toute la compagnie, on jura de ne quitter les armes qu'après avoir réussi dans le dessein qui les avait fait prendre.

Cette vie si vraiment humaine, si pleine de faiblesse et d'héroïsme et de belles larmes; nous avons vu que Port-Royal l'encadre et la pénètre tout entière. Non seulement Port-Royal le nourrit, et, après vingt ans de séparation, le recueille et l'apaise; mais on peut dire que le théâtre de Racine est la fleur profane et imprévue du grand travail de méditation religieuse et de perfectionnement intérieur qui s'est accompli jadis

L'amour profane ne pouvant les séduire, est devenu, sous leur influence, l'amour immatériel.

La musique qui mêle le sacré au profane est impie; celle qui exprime des sensations faibles, lamentables ou mesquines est absurde; car n'étant pas assez imposante et assez grave pour être sacrée, il lui manque la gaîté qui fait le seul mérite de la musique profane.

Moi, j'écoutais, pensif, un profane couplet Que fredonnait dans l'ombre un abbé violet.

Les deux soeurs, ses compagnes de solitude, qui s'occupaient des soins du ménage sur la galerie, se sauvèrent en emportant leurs laitues mal épluchées, comme si un profane avait troublé le mystère. Elles fermèrent

ESCALUS. Quoi! moine irrévérent et profane, ne te suffit-il pas d'avoir suborné ces femmes pour accuser ce digne homme, sans que ta bouche infâme vienne

Mais cet odieux lit conjugal changeait, malgré Tony, ses idées sur Clotilde; Clotilde était donc une femme comme toutes les femmes. Ces deux oreillers racontaient des choses bien humaines. Arthur, aux yeux de Tony, était non-seulement un rival heureux, mais encore un profane, un sacrilége, qui faisait descendre la divinité de son piédestal pour l'abaisser jusqu'

Votre très reconnaissant, serviteur, répliqua Decimus, en se levant brusquement et mettant la main sur son coeur. Je me trouve en vérité dans un port de repos, après la société impie et profane de mes frères. Ne chanterons-nous pas un hymne avant de nous délasser des affaires de la journée? Mon père y consentit avec empressement, et nous chantâmes: «

Les chars d'or étoilés de nacre Des grands pharaons d'autrefois Rasaient mon bloc heurté du fiacre Emportant le dernier des rois. Jadis, devant ma pierre antique, Le pschent au front, les prêtres saints Promenaient la bari mystique Aux emblèmes dorés et peints; Mais aujourd'hui, pilier profane Entre deux fontaines campé, Je vois passer la courtisane Se renversant dans son coupé.

Mot du Jour

qu'oublieuse

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