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Mis à jour: 8 mai 2025


Je lui prodiguais toutes les injures que je savais et parfois, pris d'une rage subite, je lui empoignais les bras et lui enfonçais mes doigts dans la chair.

Je l'accablais de tendresse et d'amour, je lui prodiguais les plus douces les plus enivrantes caresses: parfois je l'abîmais de plaisir, dans l'espoir qu'elle ne concevrait plus désormais d'autre passion que celle avouée par la nature, qui confond les deux sexes dans la joie des sens et de l'âme. Hélas! je me trompais. L'imagination était frappée, elle dépassait tous nos plaisirs.

Je tenais la main de Féodora; je lui prodiguais tous les noms qu'une mère tendre donne

« Oui, si elle était composée de soldats ayant vu sa bravoure et apprécié sa loyautéQuel or eût pu payer de pareilles assurances en pareille position? Aussi je prodiguais

J'étais pâle comme la mort; je tremblais; je me tordais les mains de désespoir; je tendais les bras vers M. Pavelyn en bégayant des paroles confuses. Mon émotion extraordinaire, mon angoisse mortelle et mon désespoir sans bornes éveillèrent quelque compassion dans le cœur de mon bienfaiteur; car ce fut avec moins de colère qu'il reprit: Non, ne répétez pas l'aveu de votre coupable égarement; j'ai tout entendu. Hélas! puisse le ciel vous le pardonner! Tandis que je vous prodiguais mon amitié, et que je songeais nuit et jour

Mon fils bien-aimé, mon Prosper, mon ami, mon cher et doux poëte, tu étais près de moi, il n'y a pas trois mois encore, près de nous qui t'aimions et t'aimons toujours si tendrement; tu vivais de notre vie, tu nous prodiguais toutes les délicatesses de ton amour, tout le charme de ton esprit; tu nous parlais de ton avenir, de tes projets ... et maintenant nous voici seuls et tristes!

Le vicomte prit le silence de son père pour un consentement tacite et continua: Lorsque j'eus le malheur de perdre ma mère... ma pauvre mère qui m'avait tant aimé... je n'avais pas vingt ans... Je me trouvai seul... sans conseil... sans appui... Maître d'une fortune considérable... habitué au luxe dès mon enfance... je m'en étais fait une habitude... un besoin. Ignorant combien il était difficile de gagner de l'argent, je le prodiguais sans mesure... Malheureusement... et je dis malheureusement, parce que cela m'a perdu, mes dépenses, toutes folles qu'elles étaient, furent remarquables par leur élégance... À force de goût, j'éclipsai des gens dix fois plus riches que moi. Ce premier succès m'enivra, je devins homme de luxe comme on devient homme de guerre, homme d'

Seconde hypothèse. Ce fut mon cas avec Colette, et j'y ai tant pensé que je devrais pourtant le connaître. Je l'aimais, cette malheureuse femme, et je la méprisais. Cela faisait un sentiment affreux, que je ne me pardonnais pas d'avoir, car toutes nos caresses, tous les mots passionnés que je lui prodiguais dans cette chambre de la rue de Rivoli, d'où l'on voyait, par les matins de printemps, les massifs fleuris des Tuileries, et, par les après-midi d'hiver, la pesée basse du ciel sur les arbres nus, oui, ces misérables chutes dans l'abîme des sens m'étaient une bonté

Pendant que je prodiguais ainsi mon sang pour sa tribu, Paulo. en misérable lâche, fuyait du champ de bataille, aussitôt que l'action s'engageait; mais quand le feu était cessé, le premier il était

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