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Mis à jour: 27 juin 2025
C'est du priapisme morbide... Le grand critique du Temps, M. Edmond Schérer, écrivait doctoralement: On assure que Louis XIV aimait l'odeur des commodités; M. Zola, lui aussi, se plaît aux choses qui ne sentent pas bon...
PRIAPISME: Culte de l'antiquité. PRINCIPES: Toujours indiscutables; on ne peut en dire ni la nature, ni le nombre; n'importe, sont sacrés. PROFESSEUR: Toujours savant. PROGRÈS: Toujours mal entendu et trop hâtif. PROMENADE: Toujours faire une promenade après dîner, ça facilite la digestion. PROPRI
Lorsque le priapisme n'est pas le symptôme d'une maladie du cervelet, il provient, soit d'une irritation directe de la partie, soit de l'usage d'aphrodisiaques dangereux tels que les cantharides et le phosphore. Cette idée a été développée dans plusieurs romans remarquables, notamment dans celui de M. de Camors, par Octave Feuillet.
L'ambre gris, la civette, le castor et le musc, les cantharides; ces dernières et le phosphore sont presque toujours mortels. Ambroise Paré cite un homme qui mourut de priapisme et d'hémorragie urétrale causée par une potion cantharidée qu'une courtisane, sa maîtresse, lui avait fait prendre. Le baume de tolu, celui de la Mecque et du Pérou, sont aussi des excitants.
C'est parmi les filles dont les désirs sont longtemps et violemment comprimés que se trouvent les nymphomanes. Le priapisme est une érection violente et permanente du membre viril, le plus souvent sans désir vénérien. Le malade, loin d'éprouver du plaisir dans le coït, n'en ressent, le plus souvent, que fatigue et douleur; et, quelquefois, de graves hémorragies uréthrales s'en suivent.
a) L'excitation (priapisme) se produit par une action réflexe due
Une bouche menteuse, non par hypocrisie, mais pour l'effet et l'exagération, voulant séduire, étonner, effrayer. Un fanfaron de crimes, ravi qu'on le suppose un profond scélérat (V. Corr. de Lamark). Effréné de paroles, heureux qu'on le croie un satyre. Il n'en a pas le masque. L'aiguillon bestial visiblement lui manque. Son visage gravé semble impur, il est vrai, mais impur de pensée, de fantaisie lubrique, d'un priapisme cérébral. Qu'une soeur, une mère, l'aient corrompu enfant, on n'a pour le prouver que les allégations du père. Ce qui est plus certain, c'est que ce libertin (tout au rebours des jeunes gens d'alors) garda toujours l'horreur des filles publiques, fut toujours amoureux dans ses libertinages, et même assez fidèle. De vingt ans
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