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Mis à jour: 4 juillet 2025


Alors, je priai seulement, qu'on me laissât seule dans ma chambre. Je voulais essayer de voir clair au fond de moi-même. Pensez donc que la veille j'étais rentrée au harem toute vibrante d'un sentiment nouveau; j'y avais apporté tout le printemps des îles, ses parfums et ses chansons, et les baisers cueillis l

"Une chose que vous ne croirez peut-être pas, Armand, c'est que je priai Dieu de me donner de la force, et ce qui prouve qu'il acceptait mon sacrifice, c'est qu'il me donna cette force que j'implorais. "A ce souper, j'eus besoin d'aide encore, care je ne voulais pas savoir ce que j'allais faire, tant je craignais que le courage ne me manquât!

Après que son action de grâces fut finie, je priai l'assistance de se retirer et prosterné, la face contre terre, je demandai pardon

Il est certain que je serais devenu enragé, si mon porte-clés n'eût eu pitié de moi. Je le priai de prendre un petit cornet de thé que j'avais et d'en jeter deux ou trois bonnes pincées dans un petit pot d'eau bouillante et de me le porter sur-le-champ. Je jetai le quart de cette eau, et ensuite je mis le globe de mon œil sur la bouche de ce pot. Cette fumée chaude le pénétra de telle sorte, qu'en cinq

Les Hongrois sont de grands sybarites. Je priai donc ces deux messieurs de prendre une petite collation. M. de R... s'excusa, il avait beaucoup

«Si, en vérité, repris-je: j'ai tout aussi bien le droit de mourir que vous, lorsque mon temps sera venu; mais j'attendrai le moment et je ne le devancerai pasIl me demanda si je voulais lui pardonner sa pensée égoïste, et sceller mon pardon d'un baiser. Je le priai de m'excuser; car je n'avais nulle envie de l'embrasser.

Je m'assis près d'elle, et la priai de parler, ce qu'elle fit en ces termes.

Je fis appeler le bas officier Garok, et je le priai de me vendre le corps du colonel. Ce n'était pas la première fois que j'achetais un cadavre pour le disséquer, et ma demande n'excita aucun soupçon. Marché conclu, je donnai quatre bouteilles de Kirschen-Wasser, et bientôt deux soldats russes m'apportèrent sur un brancard Mr le colonel Fougas.

Je libérai Céline de ma protection, je la priai de quitter l'hôtel et lui offris ma bourse pour faire face aux exigences du moment, sans me soucier de ses cris, de ses protestations, de ses convulsions, de ses prières. Je pris un rendez-vous au bois de Boulogne avec le vicomte.

«Je sentis le besoin d'un appui dans ce moment décisif, je sonnai: un des gens de mon père accourut; je le priai de dire

Mot du Jour

qu'oublieuse

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