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Mis à jour: 27 octobre 2025
Il nous connaissait bien; il arrivait quelquefois dès le matin chez monsieur Remy, qu'on éveillait pour le recevoir, et il disait: «J'ai besoin de tant pour mes pauvres.» «On lui payait son dû. «Il vint, il interrogea mon pauvre malade, qui resta muet comme une pierre. «M. le curé s'agenouilla auprès du lit et pria, mais tout cela ne dura pas longtemps parce que d'autres malheureux l'attendaient.
«Cher petit ange du bon Dieu, bénissez-moi une dernière-fois, dit-il en posant sur sa tête la petite main de Roger crispée par la souffrance. Que le bon Dieu... vous bénisse! Et vous aussi, Jean.... Adieu!» Le pauvre petit recommença une crise; Mme de Grignan pria Kersac de sortir; Jean demanda
Ensuite, le chevalier de Troyes se disposa pour sa nouvelle entreprise. Il fit charger les canons sur le vaisseau pris au fort Rupert, et il mit son monde en plusieurs canots. Les mémoires du temps remarquent qu'il pria alors le Père Silvy, qui était resté
Peut-être Scrooge n'aurait pu dire pourquoi, si on le lui avait demandé, mais il éprouvait un désir tout particulier de voir l'esprit coiffé de son chapeau, et il le pria de se couvrir.
Mon bon maître me prit le bras de l'air de quelqu'un qui enfin peut parler librement: Jacques Tournebroche, mon fils, me dit-il, je ne dois pas vous celer qu'une rencontre assez étrange eut lieu ce matin dans les combles du château, tandis que vous étiez retenu au premier étage par cet enragé souffleur. Car j'ai bien entendu qu'il vous pria d'assister un moment
Cécile me pria de l'associer
Il compta huit minutes sur la minuscule pendule de sable, s'agenouilla, croisa les mains et récita le Confiteor. Il pria longtemps, dévotement et béatement.
Johannès pria Dieu et, pour la troisième fois, il plongea complètement l'oiseau. À l'instant, elle redevint une charmante princesse encore plus belle qu'auparavant. Elle le remercia avec des larmes dans ses beaux yeux de l'avoir délivrée de l'ensorcellement.
Malheureusement, les malades de Bouzina avaient eu tout ce qui me restait en médicaments et je dus le lui dire. Il me pria alors de lui faire une ordonnance pour le pharmacien de Batna.
Après la bourrée, je l'accompagnai jusque chez sa tante, comme elle appelait la soeur de sa mère nourrice, et en chemin elle me fit raconter ce qui s'était passé. Alors elle me pria de m'en aller avant la nuit, de crainte que ce grand penlant ne m'attendît dans les chemins pour me donner quelque mauvais coup. Moi, qui avais compté passer la soirée
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