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Mis à jour: 1 octobre 2025


Une minute après, le généreux épicier était dans ma chambre et m'offrait son bras pour descendre. J'étais ému jusqu'aux larmes et je lui pressai les mains avec une effusion qui le surprit, tant son action lui paraissait naturelle.

Enfin, les jours s'accumulaient, la marquise jouait la coquette, semblait vouloir irriter mes désirs et me donner un véritable amour. Nous étions dans la saison des petits voyages; nous ne nous voyions que des moments, et ces moments étaient perdus pour mes projets. Tout cela m'ennuya; j'étais oisif, je la pressai; j'obtins un rendez-vous pour le lendemain, et quelques gestes très significatifs, de part et d'autre, m'annoncèrent qu'il serait tout ce que je voulais qu'il fût. Je me rends

«Persuadé qu'il cachait dans son âme un secret important, je le pressai de m'en faire l'aveu. C'est une lâcheté, me dit-il, de se laisser écraser sans relever la tête. Je sais qu'une insurrection se prépare dans le Sud; les nègres de la Virginie et des deux Carolines vont se joindre aux Indiens de la Géorgie pour secouer le joug américain; j'irai seconder leurs efforts.

Au lieu de répondre, je lâchai sa main pour ouvrir mes deux bras, et je le pressai de bon coeur contre ma poitrine. Il parut content de cela, mais, comment dirai-je? content froidement. Et il mit une certaine réserve

Je la pressai autant qu'il fut en mon pouvoir de le satisfaire. Je combattais les raisons de cette fille par toutes celles qui me vinrent

Lorsque je passai le seuil de la porte, et que je mis le pied dans la rue, un long soupir souleva ma poitrine, et je pressai le pas dans la nuit pour m'éloigner du bruit de la fête et pour être seul avec mes douloureuses pensées. Lorsque je me présentai le lendemain chez mon bienfaiteur pour m'informer de la santé de sa fille, je rencontrai M. Pavelyn sur le seuil de sa porte, prêt

«Je pressai sa noble main sur mes lèvres et je me rendormisCes quelques lignes donnent assez créance

Ici, pas plus qu'avant, je ne pouvais répondre. Je pressai la main de Suzanne, devenue fiévreuse tout

En somme, je le pressai tant qu'il finit presque par s'y accorder; mais nous fûmes arrêtés tantôt par un obstacle, tantôt par l'autre, jusqu'enfin il changea les rôles, et se mit

Je lui donnai baisers sur baisers, sur la bouche, sur les joues, sur les yeux. Je la pressai contre mon coeur. Je lui dis bien bas quelle était tout pour moi, tout, et que je ne pouvais pas vivre sans elle. Edie ne répondit rien, mais elle fut longtemps avant de tourner la tête, et quand elle me repoussa en arrière, elle n'y mit pas beaucoup d'effort.

Mot du Jour

descalzas

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