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Mis à jour: 27 juin 2025
Pour chercher, saisir et appréhender, dit une voix que je reconnus pour celle de ce détestable praticien, différentes personnes dénommées au mandat dont je suis porteur, et accusées de haute trahison, aux termes du chapitre III de la loi rendue dans la treizième année du règne de Guillaume.
«Votre lettre m'a prouvé que vous connaissiez de réputation le docteur Oserel. Vous savez que ce savant praticien est un de ces chirurgiens de province qui vont de pair avec les plus célèbres de Paris, qu'il excelle surtout dans le traitement des maladies de femmes qui relèvent de la médecine opératoire. Mais peut-être ignorez-vous que, quoique très mûr, il appartient
Quatre-vingts!... dit-il en consultant après quatre minutes le pouls du malade. Le délire n'existe plus... En effet Tony semblait beaucoup plus calme. Laissez-le dans ce drap, continua le vieux praticien. Seulement, comme l'eau s'échauffe, vous le rafraîchirez toutes les trois heures. Vous ferez bien d'avoir deux draps pour alterner. Adieu, madame.
Quand l'illustre praticien eut terminé son examen, il reposa délicatement la pauvre enfant sur l'oreiller. Ce ne sera rien, lui dit-il en souriant; un peu de patience, et nous vous guérirons. C'est l'affaire de six semaines. Il lui sourit encore, lui pressa la main, demanda du papier pour écrire une ordonnance, et passa dans le cabinet de M. Karzof avec les parents et Jean.
Le doute est, ainsi que nous l'avons développé ailleurs, la base de l'expérimentation; toutefois il ne faut pas confondre le doute philosophique avec la négation systématique qui met en doute même les principes de la science. Il ne faut douter que des théories, et encore il ne faut en douter que jusqu'au déterminisme expérimental. Il y a des médecins qui croient que l'esprit scientifique n'impose pas de limite au doute. À côté de ces médecins qui nient la science médicale en admettant qu'on ne peut rien savoir de positif, il en est d'autres qui la nient par un procédé contraire, en admettant qu'on apprend la médecine sans savoir comment et qu'on la possède par sorte de science infuse qu'ils appellent le tact médical. Sans doute je ne conteste pas qu'il puisse exister en médecine comme dans les autres sciences pratiques, ce qu'on appelle le tact ou le coup d'oeil. Tout le monde sait, en effet, que l'habitude peut donner une sorte de connaissance empirique des choses capables de guider le praticien, quoiqu'il ne s'en rende pas toujours exactement compte au premier abord. Mais ce que je blâme, c'est de rester volontairement dans cet état d'empirisme et de ne pas chercher
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