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Mis à jour: 29 juin 2025
Pourtant ce batelier, qui parlait plus qu'il n'y était provoqué, me fit entendre qu'il était encore question pour vous d'un mariage, et que, depuis quelque temps, un jeune homme, qu'il appelait Valmare, était assidu au manoir de Turdy. Je ne poussai pas plus loin des investigations qui déj
Otez donc votre masque, m'écriai-je, que je puisse voir le visage d'un homme qui rit lâchement du désespoir d'une femme. Le domino dénoua lentement les cordons et jeta sur la table le masque détaché. Je poussai un cri! j'étais victime d'une cruelle plaisanterie; j'avais joué avec mon mari. Vous! monsieur, c'est vous, murmurai-je avec stupeur. Ah! c'est infâme.
C'est un savant, et sa science est telle que celle de personne ne peut lui être comparée... »Je poussai un cri de surprise. » Alors, pourquoi père ne fait-il pas de moi un savant?...
En même temps je poussai la porte de la salle. Toute notre société était l
Je poussai au hasard une porte latérale qui se présenta devant moi, et je me trouvai dans une ruelle étroite et peu fréquentée. Je vis un jardin ouvert. Alida, sans savoir où elle était, put marcher jusque-l
Je crus en être débarrassé, je ne dormis pas de joie: toute la matinée du lendemain, je poussai, pour ainsi dire, le temps devant moi; j'avais hâte d'arriver
Ayant gravi le perron dont un obus avait bousculé les dalles, je poussai la première porte voisine des marches et j'entrai dans un petit salon clair. La dame en noir m'attendait, blottie en un fauteuil, avec toujours sa même allure troublante. Comme je tombais,
Je me levais donc et j'ouvris la fenêtre sans défiance. «Est-ce vous, mère?» Pour toute réponse, un homme sauta dans la chambre qui était au rez-de-chaussée et au niveau de la rue. Aussitôt je poussai un cri. «Tais-toi, dit-il. C'est moi, Matthieu. Ne me reconnais-tu pas?» Je reculai, moitié de frayeur, moitié de colère: «Je ne vous connais pas. Que me voulez-vous? Sortez, ou j'appelle.
Je m'élançai vers la fenêtre, je poussai le volet avec précipitation; je jetai les yeux dans la sacristie, j'y étais absolument seul; je les promenai sur tout le jardin, il était désert, et le vent du midi courait sur les fleurs. Je pris courage: j'explorai tous les coins de la salle, je regardai derrière le prie-Dieu, qui était fort grand; je secouai tous les vêtements sacerdotaux suspendus aux murailles; je trouvai toutes choses dans leur état naturel, et rien ne put m'expliquer ce qui s'était passé. La vue de tout le sang que j'avais perdu me porta
La chambre dans laquelle j'avais laissé la pauvre Mary mourante était située au premier étage; je montai rapidement. Il était alors quatre heures du matin. Je poussai la porte avec un battement de coeur qui me faisait mal. Et cependant j'espérais encore. Le tableau qui frappa mes regards était bien fait pour augmenter l'émotion dont j'avais peine
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