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Mis à jour: 1 juin 2025


Potsdam, le 12 juillet 1775. .....Lekain est venu ici: il jouera

Ce prince repartit pour Potsdam. Quelques jours après le comte Fink reçut une lettre de sa part avec un ordre séparé, de n'en faire l'ouverture qu'en présence du Maréchal de Borck et de Grumkow. Il lui étoit en même temps défendu, sous peine de la vie de ne point faire mention

A peine eut-elle le temps de saisir cette lueur d'espoir qui la ranimait un peu, le laquais rentre, et lui remet un paquet. C'est de monsieur le comte; son coureur arrive de Potsdam. Caroline a

Le maréchal Oudinot avait avec lui les corps du général Bertrand et du général Reynier, qui commandait les Saxons: il avait encore d'autres troupes; son corps dépassait quatre-vingt mille hommes; il marcha jusque près de Potsdam. Le général Reynier faisait tête de colonne; il rencontra les ennemis, et les attaqua,

Tandis que le commissaire français commençait sa tournée, Frédéric-Guillaume errait entre Charlottenbourg et Potsdam, tournant autour de sa capitale ou piétinant sur place, dévorant ses humiliations, abreuvé de dégoûts et rongé d'impatience. Hardenberg écrivait

Ce roi philosophe, qui, sans qu'il s'en doutât, s'était fait, du haut du trône, l'un des promoteurs de la Révolution française, couché maintenant dans son cercueil, recevait la visite du général de cette Révolution, devenu empereur, conquérant de Berlin et de Potsdam! Le vainqueur de Rosbach recevait la visite du vainqueur d'Iéna. Quel spectacle

En apprenant l'hésitation du roi de Prusse et le traité de Potsdam, Napoléon, désireux d'en finir avec les Russes, avant que les Prussiens se déclarassent, se porta

ALLEMAGNE. Guillaume II quitte le matin Potsdam pour Mayence, il rejoint le grand quartier général. SUR MER. On confirme que le Kronprinz-Wilhelm, un des plus beaux paquebots allemands, armé en croiseur auxiliaire, a été capturé par le croiseur anglais Essex.

La volonté de sa sacrée majesté le Hasard soit faite. À Potsdam, le 3 janvier 1773.

La veille de son départ, me regardant fixement, je viens prendre congé de vous, ma chère fille, me dit-elle. Je me flatte que Grumkow me tiendra parole et qu'il empêchera qu'on ne vous inquiète pendant mon séjour de Potsdam: mais comme on ne peut pas toujours prévoir l'avenir, et que Grumkow est obligé par politique d'avoir de grands ménagemens pour Sekendorff, afin de le tromper d'autant mieux, j'exige une chose de vous, qui seule peut me tranquilliser pendant mon absence; c'est que vous fassiez un serment sur votre salut éternel, que vous n'épouserez jamais que le prince de Galles. Vous voyez bien que je ne vous demande rien que de juste et de raisonnable, ainsi je ne doute pas que vous ne me donniez cette satisfaction. Cette proposition me rendit interdite; je crus l'éluder en lui représentant, que Grumkow étant de son parti, il n'y avoit plus rien

Mot du Jour

l'égaierait

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