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Ah! je suis bien malheureux!... répondit-il. Mais il hésitait. Il eut voulu pouvoir dire tout d'un coup. Et il ne savait comment commencer. Je vous ai dit, reprit-il, que ma famille était très riche.... Oui.... Eh bien: nous ne possédons plus rien... plus rien exactement.

Je veux vous croire, Simon, répondit l'ingénieur en souriant. Mais enfin, tel que j'en puis juger par cette courte exploration, nous possédons les éléments d'une exploitation qui durera des siècles ! Des siècles ! s'écria Simon Ford. Je le crois bien, monsieur James ! Il se passera mille ans et plus, avant que le dernier morceau de charbon ait été extrait de notre nouvelle mine !

«Nous possédons dans le téléphone un instrument d'une sensibilité exquise. Il est, comme on le voit, beaucoup plus sensible que la patte galvanoscopique, et j'ai songé

Nous possédons les moindres opuscules que nous mentionnons ici; collection rare, peut-être unique: on laisse si facilement perdre les bluettes de circonstance! Ancastrœm, poème lyrique. Lisieux, 1792, in-8º. L'existence de l'Être Suprême, en vers. 1794, in-8º. Discours publics et programmes

Il tendait un papier, Maxence ne le prit pas. Je ne doute pas de votre parole, monsieur, répondit-il; mais les affaires de mon père ne sont pas les nôtres... Vous refusez de me rendre mon argent? Ni ma mère, ni ma soeur, ni moi, monsieur, ne possédons rien...

Puis, assourdissant sa voix: L'espace que nous traversons en ce moment est rempli de ce fluide appelé éther et qui est si raréfié que sa densité représente le vide absolu que l'on obtient au moyen des machines pneumatiques... il est donc absolument impossible d'ouvrir les hublots pendant toute la durée du voyage... car au lieu de faire pénétrer ici de l'air respirable, c'est au contraire le peu que nous possédons qui s'échapperait au dehors.

Nous ne possédons plus un centime, poursuivait Rose avec une persistance féroce, j'ai vendu la semaine passée mes dernières nippes, nous n'avons plus de bois, enfin nous n'avons pas mangé depuis hier matin. A ces objections formulées comme des reproches poignants, le malheureux jeune homme étreignait son front de ses mains crispées, comme s'il eût espéré en faire jaillir une idée de salut.

Pour constater davantage l'authenticité de cette lettre, nous citerons le passage suivant du Journal de Dijon, du 4 août 1821. «L'exemplaire que nous possédons nous a été donné, il y a environ dix-neuf ans, par une personne d'Auxonne, qui le tenait elle-même ex autoris dono.

Je l'avais toujours dit! s'écria la fiancée. Je savais bien que ce n'était pas une enfant ordinaire!... Hélas! monsieur, nous ne possédons aucun moyen de vous assister; car tout ce que nous pouvions faire nous l'avons vainement essayé déj

La statuaire s'était de bonne heure emparée du bronze: malheureusement, aucune ne nous a été conservée de ces idoles qui remplissaient les temples de l'ancien empire. Quoi qu'on en ait dit, nous ne possédons point de statuettes en bronze qui soient antérieures