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Mis à jour: 3 juin 2025


Vraiment. Je n'espérais plus vous revoir... Un amer sourire crispa la lèvre de miss Stevenson. C'est Dieu qui m'a donné la force de vivre, répondit-elle; deux sentiments puissants m'ont soutenu... l'amour que je portais

Ta blessure est mortelle... c'est le stylet empoisonné de Cecily qui t'a frappé; je le portais toujours sur moi; attends l'effet du poison. Ah! tu me lâches, enfin, tu vas mourir... Il ne fallait pas m'empêcher d'aller l

«Elle a cessé d'être, et cependant je respire encore; mais ce n'est point le même air des autres hommes que je respire. Un serpent enveloppait mon cœur de ses froides étreintes, et empoisonnait de son dard toutes mes pensées. Comme tous les jours j'abhorrais tous les lieux, et, dans mes frémissemens, j'aurais voulu fuir toute la nature. Partout je trouvais autrefois du charme, j'y portais la teinte sombre de mes pensées. Le reste, tu le connais déj

Au déclin du jour, Georges et moi, nous cherchions, dans les brillantes réunions du monde, des distractions et des plaisirs. C'était la saison des fêtes: les bals, les concerts, se succédaient non interrompus. Je portais un regard avide et impatient sur cette société dont on parle tant en Europe, et que l'on connaît si peu!

Je portais, ainsi que tous les enfants d'une humble condition, une espèce de vareuse en grosse étoffe

«Quoi! vous demeurez dans ma rue... et je ne vous ai jamais rencontré!... Mais, moi, madame, je vous voyais tous les jours... Assis près de cette fenêtre, tout en travaillant, mes yeux se portaient souvent sur votre demeure... C'est le seul délassement que je me suis permis. Lorsque je me sentais fatigué par quelques heures d'études, lorsque des difficultés nouvelles, quelques recherches arides me rendaient le travail plus pénible, je portais mes yeux sur vos fenêtres, et il me semblait retrouver un nouveau courage, un nouveau désir d'apprendre; quelquefois aussi je vous voyais sortir... passer

À la première lueur de la fenêtre, Hélène et moi nous avions regardé de toutes nos forces cette scène nocturne; ma mère tenait toujours la tête baissée. Inquiet de ce que nous allions voir, je portais mes regards de cette scène étrange

Mais le deuil de ma mère? répondis-je en baissant tristement les yeux. Ma tante éclata de rire, et s'écria: Est-elle donc divertissante avec ses imaginations funèbres! Mais vous l'avez porté il y a sept ans, le deuil de votre mère; c'est bien assez comme ça. Je l'ai porté sans savoir que je le portais, ma tante, dis-je en sentant les larmes me venir aux yeux.

Appelez-moi par mon nom, le nom que je portais avant d'avoir commis la faute d'épouser votre frère. Appelez-moi, s'il vous plaît, la comtesse Narona. Comtesse Narona, reprit Francis, si vous avez l'intention de vous moquer du monde, vous vous êtes trompée d'adresse. Parlez-moi clairement ou laissez-moi vous souhaiter le bonsoir.

Je me levai, frappée d'effroi devant cette solitude hantée par un juge si inexorable, devant ce silence se faisait entendre une voix si terrible; mais je m'aperçus que j'étais tout étourdie. Je me sentais sur le point de m'évanouir d'inanition et de faiblesse; je n'avais ni mangé ni bu de toute la journée; je n'avais même pas déjeuné le matin. Je réfléchis avec une douloureuse angoisse que, depuis le moment je m'étais enfermée dans ma chambre, personne n'était venu me demander comment je me portais ou m'inviter

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