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Mis à jour: 16 juin 2025
Marius Pontmercy fit comme tous les enfants des études quelconques. Quand il sortit des mains de la tante Gillenormand, son grand-père le confia
Le salon de madame de T. était tout ce que Marius Pontmercy connaissait du monde. C'était la seule ouverture par laquelle il pût regarder dans la vie. Cette ouverture était sombre, et il lui venait par cette lucarne plus de froid que de chaleur, plus de nuit que de jour. Cet enfant, qui n'était que joie et lumière en entrant dans ce monde étrange, y devint en peu de temps triste, et, ce qui est plus contraire encore
Il leva son regard vitreux et parut chercher quelque chose d'évanoui. Un jeune homme qui venait ici dans les temps. Cependant M. Mabeuf avait fouillé dans sa mémoire. Ah! oui,... s'écria-t-il, je sais ce que vous voulez dire. Attendez donc! monsieur Marius... le baron Marius Pontmercy, parbleu! Il demeure... ou plutôt il ne demeure plus.... Ah bien, je ne sais pas.
Pontmercy? dit Marius en pâlissant. Précisément. Pontmercy. Est-ce que vous l'avez connu? Monsieur, dit Marius, c'était mon père. Le vieux marguillier joignit les mains, et s'écria: Ah! vous êtes l'enfant! Oui, c'est cela, ce doit être un homme
En dérangeant les vêtements de Marius, il avait trouvé dans les poches deux choses, le pain qui y était oublié depuis la veille, et le portefeuille de Marius. Il mangea le pain et ouvrit le portefeuille. Sur la première page, il trouva les quatre lignes écrites par Marius. On s'en souvient: «Je m'appelle Marius Pontmercy.
Dame, monsieur, observa Basque, nous nous sommes réveillés tard. Votre maître est-il levé? demanda Jean Valjean. Comment va le bras de monsieur? répondit Basque. Mieux. Votre maître est-il levé? Lequel? l'ancien ou le nouveau? Monsieur Pontmercy. Monsieur le baron? fit Basque en se redressant.
Sa main tremblait. Il écrivit lentement quelques lignes que voici: «Cosette, je te bénis. Je vais t'expliquer. Ton mari a eu raison de me faire comprendre que je devais m'en aller; cependant il y a un peu d'erreur dans ce qu'il a cru, mais il a eu raison. Il est excellent. Aime-le toujours bien quand je serai mort. Monsieur Pontmercy, aimez toujours mon enfant bien-aimé. Cosette, on trouvera ce papier-ci, voici ce que je veux te dire, tu vas voir les chiffres, si j'ai la force de me les rappeler, écoute bien, cet argent est bien
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