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Mis à jour: 18 juin 2025
Avait-il tort ou raison, le major Lapouge? Est-ce que vraiment Pontaillac, ce mâle superbe, était dominé, violenté,
Beaucoup, madame la marquise. Et... Voyons, ne vous désolez pas... Je suis un tombeau... Vous ai-je trahie pour le capitaine? Le capitaine? Oui, monsieur le comte de Pontaillac. Explique-toi! Mon Dieu que vous avez souffert le jour de l'avortement! Silence, et ta fortune, j'en réponds! On ne sait ni qui vit, ni qui meurt.
Je vous demande pardon, monsieur le docteur, fit Pontaillac. Il y en a un puissant, radical, infaillible. Et pourrais-je connaître cette belle panacée? La morphine, cher maître, la morphine! Le professeur Aubertot réfléchit un instant et observa le capitaine de son œil bleu très clair: Ma foi, vous avez raison, et je vous remercie de m'y avoir fait songer.
M. de Pontaillac, en grande tenue, monta
Monsieur de Pontaillac entre dans le vestibule, et le voici dans la salle
M. de Pontaillac tressaillit d'allégresse; Mme de Montreu balbutia, avant de se réfugier près de l'ange gardien, sa fille.
Les jours suivants, elle se montra froide envers M. de Pontaillac, affectant devant lui pour Olivier, une grande tendresse conjugale; mais, certain soir, le capitaine dîna aux Tuilières avec l'abbé Boussarie, les Gouilléras, et pendant que le mari de Mathilde, un bon et gros limousin
Le capitaine de Pontaillac se trouvait dans un état physique relativement satisfaisant, et il menait encore près de la Stradowska une étrange comédie amoureuse.
A deux heures, le capitaine montait en voiture, et ordonnait, tremblant d'amour: A l'hôtel de Montreu! Lorsque Pontaillac entra dans la bibliothèque du marquis Olivier, celui-ci était debout et pâle devant le foyer qui allumait de ses ors les marbres, les bronzes, les cuirs de Cordoue, les reliures précieuses et le double blason des Montreu et des La Croze.
C'est alors que, tantôt sous la domination absolue du stupéfiant et tantôt sous le délire de l'abstinence, au milieu des rages de sa défaite morale et physique, le comte de Pontaillac écrivit un journal intime: Paris, le 4 décembre 1890.
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