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Mis à jour: 6 juillet 2025
Comme je pleurais et mendiais sur les grands chemins, un ministre de Kingston me recueillit, m'instruisit dans la religion calviniste, me donna toute la science qu'il avait lui-même, et m'aida dans les recherches que je fis de ma famille. Et ces recherches? Furent infructueuses; le hasard fit tout. Vous découvrîtes ce qu'était devenue votre mère?
Hélas! l'île, les grottes, les cabanes, M. Eyssette avait tout vendu; il fallait tout quitter, Dieu, que je pleurais!...
Tiens... vous ne dormez pas... ma voisine..., lui dit la Lorraine. Comment ça va-t-il, pour votre première nuit ici? Hier soir, dès en entrant, on vous a fait coucher... et je n'ai pas osé ensuite vous parler, je vous entendais sangloter. Oh! oui... j'ai bien pleuré. Vous avez donc grand mal? Oui, mais je suis dure au mal; c'est de chagrin que je pleurais.
«Pardonne-moi, mon bien-aimé Jacques, la douleur que je viens te causer. Toi qui ne pleurais plus, je vais te faire pleurer encore une fois; ce sera la dernière par exemple.... Quand tu recevras cette lettre, ton pauvre Daniel sera mort....»
Et c'est de joie aussi que je pleurais, Tom Wil... car chaque coup... chaque humiliation que j'endurais avançaient ma vengeance d'un pas.... Et j'ai eu ta confiance! ton attachement! enfin! Hurla le noir avec un affreux éclat de rire....
Il y a trois jours, ai-je dit, je priais avec ferveur au pied de cette croix et je pleurais. Je pleurais sur un passé dont chaque mauvaise action doit être enregistrée dans le livre de vie, mais je pleurais aussi parce que l'aiguille de ma montre marquait onze heures et que demain
Cette enfant, qu'avait-elle donc fait? On avait raison de me battre, moi, parce que, quand on me battait, je ne pleurais pas, je riais quelquefois même parce que je trouvais ma mère si drôle quand elle était bien en colère, j'avais des os durs, du moignon, j'étais un homme. Je ne criais pas, pourvu qu'on ne me cassât pas les membres, parce que j'aurais besoin de gagner ma vie.
Le lendemain, on nous conduisit dans notre nouvelle demeure, je veux dire aux Buisson nets, quartier solitaire situé tout près de la belle promenade nommée «Jardin de l'étoile». La maison louée par mon père me parut charmante: un belvédère d'où la vue s'étendait au loin, le jardin anglais devant la façade, et derrière la maison un autre grand jardin potager; tout cela pour ma jeune imagination fut du nouveau heureux. En effet, cette riante habitation devint le théâtre de bien douces joies, de scènes de famille inoubliables. Ailleurs, comme je l'ai dit plus haut, j'étais exilée, je pleurais, je sentais que je n'avais plus de mère! L
Après le coït je me sentais dispos et aussi bien que possible. Outre cela, moi qui avais toujours été chaste, j'avais beaucoup de relations avec des femmes. Chez la femme, ce n'était pas le corps qui me charmait, car je ne le trouvais jamais beau, mais un certain je ne sais quoi; bref, je connaissais les femmes et leur seul contact me donnait une érection. Cette joie et cet état ne durèrent pas longtemps; je commis la bêtise de prendre une chambre commune avec un ami. C'était un jeune homme aimable, doué de talents et redouté des femmes; ces qualités m'avaient vivement attiré. En général, je n'aime que les hommes instruits, tandis que les hommes vigoureux mais sans éducation ne peuvent m'exciter vivement que pour un moment, sans jamais m'attacher. Bientôt je devins amoureux de mon ami. Alors arriva la période terrible qui a détraqué ma santé. Je couchais dans la même chambre que mon ami; j'étais obligé de le voir tous les jours se déshabiller devant moi; je dus rassembler toute mon énergie pour ne pas me trahir. J'en devins nerveux; je pleurais facilement, j'étais jaloux de tous ceux qui causaient avec lui. Je continuais toujours
Biddy poussa d'abord un cri comme si elle pensait que c'était mon esprit; mais un moment après elle était dans mes bras. Je pleurais de la voir, et elle pleurait de me voir: moi parce qu'elle avait l'air si frais et charmant; elle parce que j'avais l'air si fatigué et si pâle. «Chère Biddy, comme tu es contente! Oui, cher Pip. Et Joe, comme vous êtes heureux!
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