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Mis à jour: 6 juin 2025


Comme l'argent que Quentin avait reçu en partant du Plessis était alors presque entièrement dépensé, il n'hésita pas

«Comme l'argent seroit nécessaire pour toutes ces dépenses, je laisseray ordre au commandant de Belle-Isle d'en donner autant qu'il en aura, sur les ordres de madame du Plessis, de M. de Brancas, de M. d'Agde ou de M. du Gourville; mais il faut mesnager, et que mes amis en empruntent partout pour n'en pas manquer....

«Notre Roi était en ce Plessis, avec peu de gens, sauf archers, et en ces suspicions dont j'ai parlé; mais il y avait pourvu; car il ne laissait nuls hommes, ni en la ville, ni aux champs dont il eut suspicion; mais par archers les en faisait aller et conduire. Il semblait mieux,

2º Le collége du Plessis, fondé en 1322, réuni

[Note 150: Aux colléges de Navarre et de Montaigu, il faut ajouter le collége d'Harcourt ; la Maison du cardinal ; le collége de Bayeux . 1314, collége de Laon; 1317, collége de Narbonne; 1319, collége de Tréguier; 1317-1321, collége de Cornouailles; 1326, collége du Plessis, collége des

Lui, prophétiser? s'écria le Balafré en riant; les astres lui ont-ils jamais dit que l'honnête Ludovic aidait une joyeuse commère, au Plessis,

«Si madame du Plessis se trouvoit obligée de sortir de Paris, il faudroit qu'elle allast s'enfermer quelque temps dans la citadelle d'Amiens ou de Verdun, pour y conférer et donner les ordres aux gens dont on se voudroit servir. «Prendre garde surtout

Une seconde lettre, du 19 octobre 1661, sans signature, est aussi relative aux accusations qui pesaient sur le commandeur de Neuchèse par suite de ses relations avec Fouquet: «Vous saurez tout par le porteur et la lettre de M. Matarel. On vous a servi ici de bonne manière, et en vérité vous en aviez grand besoin. On n'a jamais vu une telle rage que celle de M. Fouquet; car il a fait tout son possible pour perdre amis et indifférents. Madame du Plessis est accusée d'avoir servi

Cet acte était très sage et très politique. Il savait que depuis M. Plessis surtout, le clergé avait séparé la cause de la religion de celle de la politique, et que s'il rassurait l'autel, il pourrait faire ensuite tout ce qu'il voudrait sans que le clergé cessât de prêcher l'obéissance au pouvoir de la couronne quel qu'il fut. Lord Durham était trop éclairé pour négliger une pareille influence.

Je ne doute nullement de ce que vous me dites, bel oncle; mon malheureux destin ne m'a laissé que vous dont je puisse recevoir des avis. Mais est-il vrai, comme on le dit, que le roi tient ici, dans son château du Plessis, une cour bien maigre? Point de nobles ni de courtisans

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