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Mis à jour: 11 juin 2025
Les traditions et les témoignages de l'antiquité placent sous le règne de Servius les grands progrès des plébéiens. La haine que les patriciens conservèrent pour ce roi, montre suffisamment quelle était sa politique. Sa première réforme fut de donner des terres
Cependant la jalousie n'était pas éteinte entre le gouvernement des nobles et celui des plébéiens. Tantôt le premier, se croyant trop tôt sûr de sa puissance retrouvée, annonçait imprudemment la suppression du quartier général. Tantôt le quartier général mettait au jour la prétention d'envoyer ses délégués siéger au petit conseil1. Quand on apprit que le roi de France se préparait
MARIAGE. Le mariage sacré; ses effets religieux; était interdit entre habitants de deux villes. Légende de l'enlèvement des Sabines. Interdit, puis autorisé entre patriciens et plébéiens. Mariage par mutuus consensus; usus, coemptio. Effets de la puissance maritale; manière d'échapper
LE MESSAGER. Tribun, si vous voulez sauver votre vie, fuyez dans votre maison; les plébéiens ont saisi votre collègue, ils le traînent en jurant tous que si les dames romaines ne rapportent pas des nouvelles consolantes, ils le feront mourir
Le nom de la famille Boccanegra ne se trouve pas avant ce temps dans les fastes du consulat ou des conseils, ce qui prouve qu'elle n'avait pas compté parmi la noblesse. Sept ans avant cette élection, le peuple de Florence avait ôté le pouvoir aux nobles: les Milanais en firent autant en même temps que les Génois . Le cours des idées inclinait vers la domination démocratique. Cependant la noblesse avait trop de force, de crédit et de richesses, sa puissance avait poussé des racines trop profondes pour qu'on ne dût pas prévoir une longue résistance de sa part et de fréquentes convulsions. Il est même évident que, pour consolider le pouvoir de Boccanegra, une transaction intervint. Une émeute l'avait porté au pouvoir sans conditions; le lendemain l'obéissance qu'on lui avait jurée fut expliquée et ratifiée avec des formes plus légales et plus réfléchies. Un parlement fut tenu; douze réformateurs, tous plébéiens de la classe intéressée
Le 9 mars, un homme obscur sortit de l'un des conseils en criant: aux armes! Les plébéiens répondirent
Vos adversaires sont des plébéiens, des ennemis particuliers et assez en vue de la puissance ministérielle. Qui a droit? Nul ne le sait encore, ni vous, ni moi, ni vos adversaires. A chance égale, Simon aurait eu beaucoup de sympathie pour la cause des plébéiens, fort peu pour la vôtre; Simon n'aime pas les patriciens, et son opinion républicaine vous a fait peur.
Le moment de la convocation des états-généraux arrivait enfin; dans ce commun danger, les premiers ordres, se rapprochant de la cour, s'étaient groupés autour des princes du sang et de la reine. Ils tâchaient de gagner par des flatteries les gentilshommes campagnards, et en leur absence ils raillaient leur rusticité. Le clergé tâchait de capter les plébéiens de son ordre, la noblesse militaire ceux du sien. Les parlemens, qui avaient cru occuper le premier rôle dans les états-généraux, commençaient
Le gouvernement, continua le docteur, ne perdait aucune occasion de flatter l'amour-propre de ces braves plébéiens, et leur donnait des fêtes où ils étaient appelés
CHAPITRE V. Gabriel Adorno, doge. Dominique Fregoso, doge. Simon Boccanegra, revenu sur son siège ducal, en mourant dans sa dignité avait consolidé, malgré sa triste fin, le régime des doges populaires. C'était un grand héritage qu'il laissait aux plébéiens ambitieux; il ne manqua pas de mains avides pour s'en emparer, ni de familles assez considérables pour espérer de s'en faire un patrimoine.
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