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Mis à jour: 29 juin 2025


Pitoyable était le trouble de M. de la Ville-Handry. Et cependant, si elle eût été moins émue, Mlle Henriette eût lu dans ses yeux une inflexible résolution. Ce que je ferais serait dans ton intérêt, chère fille, balbutia-t-il... Je suis vieux, je puis mourir, nous n'avons pas de parents, que deviendrais-tu sans un ami...

Le majordome, auquel j'exposai ma pitoyable situation, n'avait rien

Le geôlier se dirigeait vers la porte. Il se retourna vers le jeune homme et il le vit si bouleversé, si pâle, si pitoyable, que sans doute il fut ému.

Que vous êtes heureux! lui dis-je: non seulement vous chantez tant que vous voulez, et très bien, et tout le monde écoute; mais vous avez une femme et des enfants, votre nid, vos amis, un bon oreiller de mousse, la pleine lune et pas de journaux. Rubini et Rossini ne sont rien auprès de vous: vous valez l'un, et vous devinez l'autre. J'ai chanté aussi, monsieur, et c'est pitoyable.

Mère et gendre veillaient sur l'infortunée, accablés l'un et l'autre du pitoyable désordre de leur chère malade; ils s'imposaient le courage d'interdire le poison, et Blanche les suivait, râlante et menaçante: Mère, j'ai besoin... Je souffre!... Tu n'as pas de cœur! Olivier, de la morphine, de la morphine, ou je te tue!

Beaudoin, si correct, si joliment tenu d'habitude, était en effet pitoyable, l'uniforme souillé, la face et les mains noires. Exaspéré, il venait de faire route avec des turcos, sans pouvoir s'expliquer comment il avait perdu sa compagnie. Ainsi que tous, il se mourait de faim et de fatigue; mais ce n'était pas l

Stefo le Dalmate!... fit La Candeur. Sans doute Stefo le Dalmate... tu as entendu ce qu'a dit Priski!... Tout cela est affreux! surtout qu'Ivana ignore tout... A ce moment, tous réclamant Rouletabille, on vint le chercher et on rentra dans le salon. Ivana s'aperçut immédiatement de l'état pitoyable dans lequel il se trouvait.

Derniers moments de Richelieu. Ce fut la dernière victoire de Richelieu, et il n'en jouit pas. Sa santé minée par les travaux, par les soucis du pouvoir, et en dernier lieu par le chagrin de ne plus rencontrer chez le roi qu'une secrète aversion, finit par succomber. «Son état était si pitoyable, dit un auteur contemporain, qu'il faisait pitié

On eût pu deviner tout cela dès 84 par son livre, Administration. Il y est pitoyable, visiblement il pleure de n'être plus ministre. On sent parfaitement la prise aisée qu'on a sur un homme si faible. Dans son pathos sentimental de bon charlatan allemand, il fait fort bien entendre qu'on aurait grand tort de le craindre. Il attend tout de la vertu (grande tirade sur la vertu), celle des princes et des privilégiés. Ils sont si généreux que tout s'arrangera. Qu'ils se confient

Le premier déguenillé venu, un pitoyable ouvrier qui n'aurait osé souffler mot devant les autres forçats plus intelligents et plus habiles, croyait avoir le droit de jurer contre moi, si j'étais près de lui, sous le prétexte que je le gênais dans sa besogne. Enfin un des plus adroits me dit franchement et grossièrement: « Que venez-vous faire ici? allez-vous-en!

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