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Mis à jour: 10 juin 2025
Le 15 janvier 1864, les rues de Paris étaient littéralement ensevelies sous la neige qui tombait sans relâche depuis la veille. Vers onze heures du soir, la tourmente sembla redoubler d'intensité; de gros flocons vinrent encore épaissir l'immense tapis blanc étendu sur le sol, et les voitures roulèrent en silence sur la terre glacée. De rares piétons pressaient le pas afin d'échapper aux morsures de la bise, et la grande avenue des Champs-
Les rues de Londres sont belles et propres. De larges trottoirs les rendent très commodes pour les piétons, aussi est-on surpris de s'y trouver parfois témoin de scènes que la civilisation semblerait devoir proscrire: il n'est pas rare d'y voir des boxeurs se battre et se blesser jusqu'au sang. Loin que cette vue paraisse répugner
Quelques rares originaux et qui ne craignaient point d'affronter les ricanements de leurs contemporains faisaient, seuls, usage de bicycles (comme on désignait les dites machines) et s'attiraient des piétons la spirituelle appellation d'imbéciles
Car c'est l'affolement. Cohue sur les trottoirs; bousculade et asphyxie dans les magasins; les boulevards me font penser aux quais d'une gare où vingt mille personnes auraient peur, en même temps, de manquer le train. Y a-t-il, dans les rues, plus de voitures que la semaine dernière? Assurément non; mais, au lieu de fiacres vides qui stationnent, il y a des fiacres pleins qui courent, et cela donne aux yeux, dès que vient la nuit et que s'allument les lanternes, une impression d'enfer joyeux... La population des piétons aussi semble doublée, et l'on n'avance, entre la Madeleine et la porte Saint-Denis, qu'en jouant des coudes. Pourquoi? C'est que tout Paris est dans la rue. Tout Paris fait ses emplettes, fiévreusement, dans une hâte folle. Et cependant voil
Paris avait son manteau d'hiver; les toits blancs éclataient sous le ciel brumeux, tandis que, dans la rue, piétons et voitures écrasaient la neige grisâtre.
Beausire, aussi, avait paru s'envelopper dans son domino comme pour faire un voyage éternel; mais il ne passa pas le premier étage, et, la porte s'étant refermée, tandis que les fiacres, les chaises et les piétons disparaissaient, il rentra dans le salon où douze des associés venaient de rentrer aussi. Nous allons nous expliquer, dit Beausire, enfin.
Telles étaient les promenades des piétons; voici maintenant celles des heureux du temps qui sortaient de la ville
En quelques enjambées, il eut rejoint les deux causeurs. Ceux-ci, remontant la partie de l'avenue réservée aux piétons, longeaient la gare du chemin de fer de ceinture qui flanque la grille du Bois. Ils franchirent cette grille, obliquèrent
«Regarde! regarde!» D'abord, au premier plan, au-dessous d'eux, c'était le port Saint-Nicolas, les cabines basses des bureaux de la navigation, la grande berge pavée qui descend, encombrée de tas de sable, de tonneaux et de sacs, bordée d'une file de péniches encore pleines, où grouillait un peuple de débardeurs, que dominait le bras gigantesque d'une grue de fonte; tandis que, de l'autre côté de l'eau, un bain, froid, égayé par les éclats des derniers baigneurs de la saison, laissait flotter au vent les drapeaux de toile grise qui lui servaient de toiture. Puis, au milieu, la Seine vide montait, verdâtre, avec des petits flots dansants, fouettée de blanc, de bleu et de rose. Et le pont des Arts établissait un second plan, très haut sur ses charpentes de fer, d'une légèreté de dentelle noire, animé du perpétuel va-et-vient des piétons, une chevauchée de fourmis, sur la mince ligne de son tablier. En dessous, la Seine continuait, au loin; on voyait les vieilles arches du Pont-Neuf, bruni de la rouille des pierres; une trouée s'ouvrait
Kouka se compose réellement de deux villes distinctes, séparées par le « dendal, » large boulevard de trois cents toises, alors encombré de piétons et de cavaliers.
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