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Autour de chaque ville règne une zone pestiférée, dont les habitants n'aspirent qu'

«Elle grandit; ce fut pis encore. On éloignait d'elle les jeunes filles comme d'une pestiférée. Songez donc que cette jeune personne n'avait plus rien

Tante Dine, qui devait prendre beaucoup sur elle pendant ses gardes, explosa quand nous fûmes seuls: Ah! mon petit, si tu savais! Ils nous l'ont tué, ils nous l'ont tué sans pitié. Toute la ville était pestiférée et ne mettait plus son espoir qu'en lui. J'en ai vu, moi qui te parle, de ces gens- l

Lorsque ma santé fut rétablie je fus employé aux reparations d'une maison pestiferée, avec des Noirs qui avoient la maladie, & je n'eus pas continué huit jours ce travail, que je m'en sentis attaqué, ce qui m'obligea de me retirer

Le vieux Sans-Souci! cria l'autre, c'est donc Rose-d'Amour, Rose la vertueuse, Rose la rusée, Rose la renchérie, Rose qui fait la fière en public avec les garçons? Qui est-ce qui te parle de Rose-d'Amour, langue du diable, langue pestiférée? Bon! la vieille se fâche; mais c'est toi qui nous as parlé du vieux Sans-Souci. Le fait est, dit une autre, que Rose pâlit tous les jours.

N'est-ce point ici que le nommé Ken, paré de son sot rochet, de ses joyaux puérils, peut prêcher des doctrines sans âme, et menteuses, lesquelles ne sont que le vieux ragoût du Papisme servi sous un nom nouveau? Est-ce que nous souffririons pareille chose? Est-ce que nous, les enfants choisis du Grand Être, nous laisserons subsister cette tache pestiférée!

Cette littérature pestiférée dont on ne peut empêcher le cours, la platitude des écrivains et des hommes politiques qui seraient en possession du journalisme, ne manquerait pas de former un contraste repoussant avec la dignité du langage qui tomberait des marches du trône, avec la dialectique vivace et colorée dont on aurait soin d'appuyer toutes les manifestations du pouvoir. Vous comprenez, maintenant, pourquoi j'ai voulu environner le prince de cet essaim de publicistes, d'hommes d'administration, d'avocats, d'hommes d'affaires et de jurisconsultes qui sont essentiels

Oui, je le déclare hautement, je ne vois plus désormais, dans le procès du tyran, qu'un moyen de nous ramener au despotisme, par l'anarchie. C'est vous que j'en atteste, citoyens; au premier moment il fut question du procès de Louis le dernier, de la Convention nationale, convoquée alors expressément pour le juger; lorsque vous partiez de vos départements, enflammés de l'amour de la liberté, pleins de ce généreux enthousiasme que vous inspiraient les preuves récentes de la confiance d'un peuple magnanime, que nulle influence étrangère n'avait encore altéré; que dis-je? au premier moment il fut ici question d'entamer cette affaire, si quelqu'un vous eût dit: "Vous croyez que vous aurez terminé le procès du tyran dans huit jours, dans quinze jours, dans trois mois; vous vous trompez: ce ne sera pas même vous qui prononcerez la peine qui lui est due, qui le jugerez définitivement; je vous propose de renvoyer cette affaire aux 44.000 sections qui partagent la nation française, afin qu'elles prononcent toutes sur ce point; et vous adopterez cette proposition." Vous auriez ri de la confiance du motionnaire, vous auriez repoussé la motion, comme incendiaire, et faite pour allumer la guerre civile. Le dirai-je? On assure que la disposition des esprits est changée; telle est, sur plusieurs, l'influence d'une atmosphère pestiférée, que les idées les plus simples et les plus naturelles sont souvent étouffées par les plus dangereux sophismes. Imposez silence