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Mis à jour: 4 juillet 2025
Et pourquoi compterait-il, au bout du compte, si elle ne l'aime plus? On dira, que Geneviève n'a pas de coeur. Je répondrai qu'on ne peut pas vendre ce qu'on ne possède pas, coeur ou autre chose; et que Geneviève a l'intention de mettre le sien aux enchères. Que l'idée lui en soit venue tout d'un coup, je ne le garantis pas. L'idée de réaliser ses rêves, bien entendu. Quant aux rêves eux- mêmes ils sont nés avec elle, ont grandi avec elle, tantôt perdus dans la brume des désirs vagues, tantôt s'affirmant dans les crispations de la révolte ou dans les spasmes de la passion. Tendances perverses ou sentiments naturels? Comme on voudra. Qu'importe, pourvu que les psychologues analysent des effets dont ils ignorent les causes et qu'ils distinguent
L'entretien intime de deux scélérats n'est jamais long, parce que ce qu'il y a d'homme en eux s'effraie bien vite de ce qu'il y a d'infernal. Quand deux âmes perverses s'étalent réciproquement leur impudique nudité, leurs mutuelles laideurs les révoltent. Le crime fait horreur au crime même; et deux méchants qui conversent, avec tout le cynisme du tête-
On se récria, surtout au banc Oriol. Eh! messieurs! fit Gonzague avant que M. de Lamoignon eût imposé silence aux interrupteurs, le monde est fait ainsi... nous ne changerons pas le monde... j'avais intérêt... intérêt matériel... donc je devais avoir une arrière-pensée... La calomnie avait beau jeu contre moi... la calomnie ne se fit pas faute d'exploiter le filon!... un seul obstacle me séparait d'un immense héritage... Périsse l'obstacle!... Qu'importe le long témoignage de toute une vie pure!... On me soupçonna des intentions les plus perverses... les plus infâmes!... on mit (je dois tout dire au conseil) on mit la froideur, la défiance, presque la haine entre madame la princesse et moi... on prit
Pour opérer cette rapide et sincère conversion, encore assurée, consolidée par la lutte impuissante des habitudes perverses de sa compagne, Fleur-de-Marie, suivant l'impulsion de son naïf bon sens, avait ainsi raisonné: La Louve, créature violente et résolue, aime passionnément Martial; elle doit donc accueillir avec joie la possibilité de sortir de l'ignominieuse vie dont elle a honte pour la première fois, et de se consacrer tout entière
Ce recueil aussi, qu'on lit avidement, laisse une impression de tristesse. M. de Maupassant n'exprime pas comme l'auteur du Mariage de Loti la mélancolie des choses et ne semble pas frappé de la disproportion de nos forces, de nos espérances et de la réalité. Il est sans inquiétude; pourtant il n'est pas gai. La tristesse qu'il donne est une tristesse simple, rude et claire. Il nous montre la laideur, la brutalité, la bêtise épaisse, la ruse sauvage de la bête humaine, et cela nous touche. Ses personnages sont en général peu intelligents, assez vulgaires, terriblement vrais. Ses femmes sont instinctives, naïvement perverses, mal sûres, et par l
Son sentiment sexuel pervers l'empêche de fonctionner sexuellement d'une façon normale; il a, en outre, pour lui, toutes les conséquences sociales d'une pareille anomalie: dangers dans la satisfaction des envies perverses qui résultent de son organisation anormale, ses craintes de conflits avec la loi et la société.
Dans cette névrose, la vie sexuelle aussi est très souvent anormale; il s'agit presque toujours d'individus tarés. Toutes les anomalies possibles de la fonction sexuelle se rencontrent ici, avec des aspects variés et des complications étranges; quand il y a une base dégénérative héréditaire, de l'imbécillité morale, on peut constater les formes les plus perverses.
«C'est du parti pris!» direz-vous. Soit! En cela pourtant, je ne puis m'empêcher de voir un système de représailles qu'il est facile d'expliquer. Comment nos romanciers et nos dramaturges ont-ils traité la femme depuis un quart de siècle? Soyez francs, et vous reconnaîtrez que naturalistes et psychologues ont rivalisé envers elle de mépris et de brutalité. Qu'elle soit du monde ou du peuple, bourgeoise ou artiste, nos maîtres écrivains l'ont-ils assez fouettée ou salie? Que sont les femmes de Dumas, de Zola, de Maupassant, de Bourget même? De pauvres créatures perverses, malades ou douloureuses, dont il faut se méfier comme de la peste. Et si, aujourd'hui, nos soeurs de lettres se retournent avec fureur vers le sexe fort, pour lui jeter au visage les gentillesses que vous savez, en vérité, ne faisons pas les étonnés: nous l'avons bien mérité. Nos romanciers ne voient nulle part l'honnête femme; par une rétorsion légitime, nos romancières ne veulent pas croire
Il était allé s'asseoir aux côtés de la malade, dans l'orangerie, parmi ces fleurs capiteuses et perverses dont elle persistait
Au bout de deux mois et demi, ce traitement eut pour résultat que, d'après les affirmations du patient du moins, les idées perverses venaient plus rarement et étaient de plus en plus reléguées au second rang; l'image des femmes nues lui donnait des érections qui devenaient de plus en plus fréquentes et qui l'amenaient souvent
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