Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 2 mai 2025


Ainsi peut-être je changeais la peine de mort en prison, mais je perdais Lena. Je n'y songeais même point. Le lendemain, un juge et deux greffiers vinrent m'interroger dans ma prison.

Après tous ces désastres, pour rien au monde je ne serais restée loin de mon cher pays. Malgré les offres les plus brillantes, rien ne put me retenir. Je perdais ma pension; pour moi, cette considération était trop peu de chose pour me retenir un jour de plus. J'ai eu tort! J'avais tant souffert pendant le temps de guerre! Je dois le dire pourtant au milieu de ce désastre qui devait réjouir les Russes, on me traitait avec une indulgence vraiment inouïe. Les Français étaient obligés d'illuminer, quand l'armée russe remportait des victoires de climat. Moi, qui demeurais sur la promenade la plus fréquentée, je fermais tout pour rendre mes croisées aussi noires et aussi tristes que mon pauvre coeur. On en fit le rapport

N'allez pas rire de moi, parce que j'ai fait tout un jour comme si je perdais la raison. Il s'en est peu fallu, je vous assure, que je n'aie été assez simple pour ne pas soutenir ma folie un quart-d'heure.

Je perdais l'espoir de revoir jamais mon compagnon, et de mornes jours s'écoulaient dans l'école paysanne, de tristes jours dans la maison déserte. Frantz ne vint pas au rendez-vous que je lui avais fixé, et d'ailleurs ma tante Moinel ne savait plus depuis longtemps habitait Valentine.

Je dépérissais de jour en jour, et les troubles que j'ai signalés devenaient plus fréquents. Il m'arrivait parfois de tomber brusquement comme si j'avais reçu un coup de massue, et je perdais connaissance pendant quelques minutes. Quand je revenais

Je perdais patience, et je faisais au vieux scélérat des clignements d'yeux qu'

Non, répondit gaiement la Française, je n'ai pas eu de sombres aventures. Je me suis mariée de propos délibéré, et je n'en ai pas agi plus sagement pour cela. Mais comme mon mari n'était pas farouche, je lui riais au nez, pour exhaler mon dépit, et je le faisais doucement enrager, pour me venger sur lui de ma maladresse. Mon ménage fut une comédie bourgeoise entremêlée de couplets. M. Vernier est seul coupable du dénoûment un peu lugubre; il est mort tout naturellement; mais ma famille et nos amis ne m'eussent jamais pardonné de ne l'avoir pas pleuré. D'ailleurs mon tyran était un brave homme. Je perdais avec lui un interlocuteur commode: je le regrettai donc en conscience. Ma fortune fut compromise par les timides spéculations de mon mari. Il n'était pas joueur et il considérait la Bourse comme un endroit malhonnête. Si bien qu'en refusant de se livrer aux chances hasardeuses qui décuplaient et centuplaient la fortune de nos voisins, mon mari fut obligé de s'en tenir aux affaires timides et parfaitement sûres. Je n'ai jamais bien compris comment il se fit que toutes les affaires sûres devinrent mauvaises, et comment l'argent honnêtement placé fut maladroitement perdu. Il paraît que tout cela est logique. Je me trouvai veuve et

Le désastre aurait éclaté. Entre deux excitants également imprenables, je perdais la tête.

«Trois ou quatre livres par an? Cela ne fait pas mon affaire! Je veux davantage. Tenez, monsieur Henry, je ne me soucie pas de ce petit peu d'argent. Je n'ai jamais aimé l'homme qui me l'a laissé, bien qu'il soit votre frère. Si je perdais tout demain, cela ne me ferait rien; j'en ai assez comme cela pour le reste de mes jours. On dit que vous êtes un spéculateur. Dites-moi une bonne affaire, vous seriez bien aimable! Tout ou rien! Et voil

Oh! comprenez-moi bien, s'interrompit-elle, j'ai confiance en votre courage, en votre force, je vous ai choisi entre tous pour vous admirer et pour vous aimer... Mais si je vous perdais... Chère, chère enfant! murmura Hector attendri.

Mot du Jour

etorent

D'autres à la Recherche