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Mettons tout d'abord en regard de cette page des Souvenirs du duc Victor de Broglie la page du Congrès de Vérone, Chateaubriand a raconté lui-même son renvoi: audiatur et altera pars. Aussi bien, la page est charmante: Le 6, au matin, nous ne dormions pas; l'aube murmurait dans le petit jardin; les oiseaux gazouillaient: nous entendîmes l'aurore se lever; une hirondelle tomba par notre cheminée dans notre chambre; nous lui ouvrîmes la fenêtre: si nous avions pu nous envoler avec elle! Les cloches annoncèrent la solennité de la Pentecôte; jour mémorable dans notre vie: ce même jour, nous avions été relevé

[Note 262: J'ignore sur quel fondement un auteur dit que le concile s'ouvrit le 11 janvier. Les témoignages authentiques donnent une date certaine, l'octave de la Pentecôte. Or, l'année 1140, Pâques était le 7 avril. (Du Cange, art. Annus.) Selon notre manière de compter, la Pentecôte devait être le 20 mai. Du reste, comme il n'existe pas de procès-verbaux de cette assemblée, on en refait l'histoire avec les lettres de saint Bernard et des fragments d'historiens. Nous ne voyons aucune raison pour renvoyer le concile de Sens, comme le veulent les Bollandistes,

Elles se font d'emblée «ministres du Verbe divin». Lors de la dernière exposition de Chicago, on a pu voir, le jour de la Pentecôte, de charmantes «ladies» revêtues de l'habit ecclésiastique, une ample tunique noire passée sur le costume de ville, prêcher et officier avec une dignité, un art et une grâce qui ont ramené au temple bien des pécheurs endurcis. «Derrière les officiantes, dix-huit femmes pasteurs, nous raconte un témoin oculaire, étaient assises, régulièrement ordinées, parmi lesquelles plusieurs négresses

Le premier jour, 2 juin 1140 , c'était un dimanche (on l'appelait alors le jour de l'octave de la Pentecôte, car la fête de la Trinité n'a été fondée qu'au XVe siècle), on s'occupa de l'adoration des reliques qui furent exposées

C'était la veille de la Pentecôte. Il était attendu. J'étais inquiète, la supérieure s'en aperçut, elle m'en parla. Je ne lui cachai point la raison de mon souci; elle m'en parut plus alarmée encore que moi, quoiqu'elle fît tout pour me le celer. Elle traita le P. Lemoine d'homme ridicule, se moqua de mes scrupules, me demanda si le P. Lemoine en savait plus sur l'innocence de ses sentiments et des miens que notre conscience, et si la mienne me reprochait quelque chose. Je lui répondis que non. «Eh bien! me dit-elle, je suis votre supérieure, vous me devez l'obéissance, et je vous ordonne de ne lui point parler de ces sottises. Il est inutile que vous alliez