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Mis à jour: 24 juin 2025


Par un contraste singulier, les femmes de ces Kabiles européens sont pâles, blondes, bionde e grassote, comme les Vénitiennes; elles ont un doux sourire triste sur la bouche, un tendre rayon bleu dans le regard; on ne saurait imaginer un contraste plus parfait. Ces noirs démons du paradis de la Huerta ont pour femmes des anges blancs, dont les beaux cheveux sont retenus par un grand peigne

Elle fit appeler sa femme de chambre pour lui apprêter une robe élégante quoique simple. Celle-ci, étonnée de ce projet de parure chez sa maîtresse dont le visage est encore empreint des marques d'un profond désespoir, se fait répéter l'ordre; mais elle n'en doute plus en voyant Ellénore ôter le peigne qui retient ses cheveux pour les faire natter de nouveau, et réparer le désordre de sa coiffure. L'aspect de cette jeune femme pâle comme la mort, le regard éteint, les joues sillonnées de larmes, s'efforçant de paraître belle, ajustant avec goût les draperies de son corsage de mousseline, renouant plusieurs fois la torsade qui lui sert de ceinture pour que les plis de sa longue tunique tombent avec plus de grâce et marquent mieux l'élégance de sa taille, ces soins, pris dans le silence du désespoir, ressemblaient

Et tu ne veux pas prendre pour moi un peigne d'ivoire qui me plaît, quand tu auras mes deux bras, comme deux branches d'ivoire autour de ton couIl essaya de les caresser... Elle les retira en arrière, et répéta: «Demain! Je l'apporterai, dit-il très bas.

Près de Boucar, sur le Sénégal, on voit l'oiseau royal qui se nomme en anglais comb bird, ou le peigné. Il est de la grosseur d'un coq d'Inde; son plumage est gris, rayé de noir et de blanc. Il a de fort longues jambes; sa hauteur est de quatre pieds. Il se nourrit de poissons. Il marche aussi gravement que les Espagnols, en levant pompeusement sa tête, qui est couverte, au lieu de plumes, d'une sorte de poil doux de la longueur de quatre ou cinq doigts. Cette chevelure descend des deux côtes; la pointe en est frisée; ce qui a fait donner le nom de peigné

Dans son jardin la sultane se baigne, Elle a quitté son dernier vêtement; Et délivrés des morsures du peigne Ses grands cheveux baisent son dos charmant. Par son vitrail le sultan la regarde, Et caressant sa barbe avec sa main, Il dit: L'eunuque en sa tour fait la garde Et nul hors moi ne la voit dans son bain. Moi je la vois, lui répond, chose étrange!

Et comment l'aurai-je? demanda Démétrios. Ah! ce sera un peu plus difficile. C'est une égyptienne, tu sais, et elle ne fait ses deux cents nattes qu'une fois par an, comme les autres femmes de sa race. Mais moi, je veux mon peigne demain, et tu la tueras pour l'avoir. Tu as juré un serment

Mais, puisque Monsieur le comte l'aime mieux ainsi, il ira en blouseEt il alla au jardin, Blaise bêchait toujours. «Blaisot, va te débarbouiller les mains et le visage, et donner un coup de peigne

«Ses cheveux dénoués, très longs, très noirs, me semblait-il, pendaient par dessus le dossier du fauteuil et touchaient la terre. «Pourquoi ai-je fait ceci? Pourquoi ai-je reçu en frissonnant ce peigne, et pourquoi ai-je pris dans mes mains ses longs cheveux qui me donnèrent

Elle était haletante et légère; un sourire continuel lui laissait la bouche ouverte dans un épanouissement de joie. Elle ne savait plus bien ce qu'elle faisait; après avoir mis ses bas, elle les jeta, en prit d'autres, atteignit dans l'armoire sa belle chemise, avec un petit pantalon neuf qu'elle s'était festonné elle-même. Avant de s'habiller, elle empoigna une éponge humide, la frotta sur son corps, de la tête aux pieds, et s'essuya d'un torchon propre. Elle avait caché au fond d'un tiroir pour un sou de poudre de riz; elle s'en mit sur le bout du nez, sur le front et sur les joues. Se coiffer, maintenant! elle avait oublié. En trois tours de doigta sa tresse fut dénattée, peignée d'un coup de peigne si hâtif qu'elle arracha quarante cheveux; les épingles de fer et de celluloïd étaient l

C'est pourquoi, ayant coupé la chevelure de Touni, il serra dans ses vêtements le peigne d'ivoire historié et, sans réfléchir davantage, il entreprit le troisième des travaux commandés par Chrysis: la prise du collier d'Aphrodite.

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