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Mis à jour: 5 juillet 2025


Mais c'est vous qui, ce soir, partagez mon malaise, Dans l'église sans voix, au mur pâle et glacé, Déesse catholique, ô ma sainte Thérèse, Qui soupirez, les yeux baissés! Malgré vos airs royaux, et la fierté divine Dont s'enveloppe encor votre coeur emporté, L'angoisse de vos traits permet que l'on devine Votre douce mendicité.

La bouche de l'abîme était vaste, profonde et si ténébreuse, que j'enfonçais mon regard dans son centre sans y rien distinguer. Or, descendons, il est temps, dans cet empire de la nuit et de la douleur, me dit mon guide pâlissant. Et moi qui vis son trouble: Comment pourrai-je vous suivre si vous, qui souteniez ma vertu, partagez mon effroi?

Maintenant, mes amis, dit l'étranger en se tournant vers les nègres et en tirant de sa poche une bourse pleine d'or, comme j'ai reçu un cadeau de votre maître, il est juste que, de mon côté, je vous fasse un petit présent. Prenez cette bourse et partagez entre vous ce qu'elle contient.

O mes jeunes amies, Mes compagnes jolies, Loin de notre patrie, Vous qui m'avez suivie, Partagez mon bonheur! O moment enchanteur! etc. Et vous que sur mes pas, pour ce lointain rivage, L'Espagne vit partir, Par vos chants, par vos jeux, des bords heureux du Tage Rappelez-moi le souvenir. ELVIRE, se levant. Dans ces jardins quel bruit se fait entendre?

Charmeresses des sens qui flattiez mes desirs, Trompeuses voluptez, ridicules plaisirs, Luxe, jeux, passe-temps, dangereuses delices, Tresors de leurs erreurs, partizans & complices, Assez, & trop long-temps vous m'avez abusé, Mais pour moy desormais vostre piege est brisé, À mon aveuglement la lumiere succede, Je verray sans regret qu'un autre vous possede, Et mesme j'advouray d'estre fort obligé À ceux qui de vos fers me rendront deschargé, Ouy, prenez chers amis tout ce bien qui me reste, Partagez entre vous cet or que je deteste, Usez bien de ce traistre & dangereux metal, Et prenez garde enfin qu'il ne vous soit fatal: Adieu mes chers amis, embrassez moy mes freres, Encore un coup Adieu.

Mais je sens bien par ce que vous venez de dire, que vous ne partagez point ce genre de prédilection! Il serait donc absurde, de ma part, d'y songer, Vous y avez donc songé, vous? Je viens de le dire. Vous aviez en vue quelqu'enfant? C'est fini, n'en parlons plus jamais! Il n'y avait pas

Puis, pour couper court aux expressions de gratitude qui se pressaient sur les lèvres de la Filleule de Lagardère, il continua en lui montrant la table: Vous devez avoir besoin de vous réconforter. Allons, asseyez-vous et partagez mon modeste repas. Ah! dame! si j'avais su avoir, ce soir, une invitée, je me serais approvisionné et arrangé en conséquence...

Je serais consternée si vous tombiez malade, vous qui partagez si bien tout ce qui m'arrive. Le ciel sait ce que j'aurais fait sans votre amitié. Elinor essaya de répondre quelque chose d'honnête; mais elle le fit si froidement qu'il eût mieux valu se taire. Cependant Lucy en parut satisfaite.

«Je ne pus m'empêcher de penser intérieurement que cette prétention au rôle de victime était un peu hasardée. J'étais alors persuadée qu'elle n'avait pas été étrangère au retour de l'île d'Elbe. La reine devina sans doute ce qui se passait dans mon esprit; d'ailleurs il ne m'est guère possible de cacher mes sentiments; mon maintien, ma physionomie, les trahissent malgré moi. «Je vois bien, dit-elle avec vivacité, que vous partagez une opinion qui m'a profondément blessée; c'est pour la détruire que j'ai voulu vous parler librement. Dorénavant vous me justifierez, je l'espère, car je tiens

Pas de privilège, pas de chef, partageons! Oui, partagez, bande de fai-chiens, dit un matelot qui parut tout

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