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Mis à jour: 2 juin 2025
Je lui fais peur... A ses yeux, je suis un étranger qui veut troubler sa vie. Mon Dieu!... Il ne faut pas lui en vouloir. Elle ne m'a jamais quitté, n'est-ce pas... VILLERS, réfléchissant Elle va pleurer... Je ne voulais pas la faire pleurer... Pourtant. Voulez-vous la voir? Volontiers. Vous pourrez lui expliquer... Lui expliquer?... Non! C'est vous qui lui parlerez... je préfère.
J'irai la voir. Oh! oui, monsieur le curé, il faut y venir bien souvent; vos visites la soulageront plus que celles d'un médecin; vous lui parlerez du bon Dieu, et elle sera toute prête quand il lui plaira de l'appeler
Ainsi quand vous rencontrerez, sur le pont, votre fils, vous ne lui parlerez pas? Oui, citoyen Alcibiade... Ce sera fort, pilote Brémond! Je n'ai pas l'honneur d'être père de quelqu'un comme Maurice, mais je sais bien qu'il me serait impossible de fermer ma bouche et mes bras devant un tel fils, d'ici
Vous ne voulez pas dire que je dois parler en faveur de votre projet de constitution que j'ai condamné avec tant de violence? Vous ne parlerez pas, si cela vous gêne. À l'heure qu'il est, du reste, les paroles sont inutiles. Mais vous voterez avec nous.
M. d'Aubrebie prononça: Vous dites que vous parlerez de moi au bon Dieu, n'est-ce pas? Alors le rire atroce s'éleva plus haut et se continua un peu après que le balbutiement fut arrêté. L'oeil se ferma un instant. Le marquis avait deviné ce qu'elle voulait dire. La tête retomba sur l'oreiller. M. d'Aubrebie s'enfuit dans le corridor.
» Que vous êtes bonne de m'avoir envoyé ce précieux souvenir! Vous m'écrirez quelquefois, n'est-ce pas? Nous parlerons d'elle. Vous me parlerez aussi beaucoup de vous, comme
Est-ce que vous ne me parlerez plus jamais, monsieur? Croyez-vous que Dieu vous punirait si vous étiez assez bon, et vous êtes bon, monsieur, pour m'appeler encore votre enfant, votre Caroline, pour me pardonner? Si vous vous figuriez combien, au moment où je vous parle, mon cœur se serre!
Nullement, Horace; nous ne sommes pas ici dans le monde que vous venez de quitter. Vingt salons n'ont pas les yeux ouverts sur le secret de votre vie domestique, et l'honneur de Marthe n'a pas besoin, comme celui d'une certaine vicomtesse, que le vôtre soit compromis. Le milieu où ces événements se sont accomplis est bien restreint et bien obscur. Tout au plus quatre ou cinq anciens amis vous demanderont compte de vos amours avec elle. Si vous leur répondez qu'elle a été une amante sans foi et sans dignité, ce bruit pourra se répandre davantage et l'atteindre dans la position plus évidente et plus enviée qu'elle est en train de se faire. Mais vous pouvez garder votre dignité et la sienne, qui ne sont point ici en lutte le moins du monde. Si vous ne comprenez pas la conduite que vous devez tenir en cette circonstance, je vais vous la dire. Vous refuserez d'entrer dans aucune explication; vous ne parlerez jamais de l'enfant qu'Arsène reconnaît et déclare, par un pieux mensonge, être le sien; vous direz, du ton ferme et bref qui convient
Ce n'est pas tout, me dit la supérieure, jurez-moi, par la sainte obéissance, que vous ne parlerez jamais de ce qui s'est passé. Ce que vous avez fait est donc bien mal, puisque vous exigez de moi par serment que j'en garderai le silence. Personne n'en saura jamais rien que votre conscience, je vous le jure. Vous le jurez? Oui, je vous le jure.»
Sincèrement, vous lui parlerez pour moi? Sans doute; et pourquoi ne vous le promettrais-je pas, et pourquoi ne le ferais-je pas après vous l'avoir promis? Ah! me dit-elle, en me regardant tendrement, je lui pardonne, je lui pardonne le goût qu'elle a pour vous; c'est que vous possédez tous les charmes, la plus belle âme et le plus beau corps.»
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