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Mis à jour: 13 juin 2025
Tout d'abord, il alla au Park, dont le bois sombre semblait le fasciner. Il s'appuya aux grilles d'un air las, refroidissant ses tempes
Quelques secondes après, il était sur les coussins de soie du landau, auprès de la Sirène, et le fringant équipage, descendant Hay Market, entrait dans Pall-Mall et se dirigeait vers cette porte de Hyde Park auprès de laquelle miss Ellen avait donné rendez-vous
En 1878, il épousa la plus riche héritière du Royaume-Uni, miss Hannah de Rothschild, fille du baron et de la baronne Meyer de Rothschild dont la prodigue et intelligente bienfaisance a laissé tant de traces durables sur le sol anglais. Ce mariage souleva bien des critiques et éveilla bien des jalousies. Mais les critiques se turent et la jalousie changea de caractère lorsque le public put comprendre quelle compagne vaillante, utile et dévouée lord Rosebery avait su conquérir. Lady Rosebery devint son principal et son meilleur auxiliaire dans la mémorable campagne du Midlothian qui fut le «clou» des élections générales de 1880 et qui rouvrit, toutes grandes, au Grand old man les portes de Westminster. Lord Rosebery en était l'inspirateur et sa résidence de Dalmeny Park en fut le quartier général. Il organisa la victoire; ce qui est quelquefois plus malaisé que de la remporter. Au lendemain du succès, quand le parti libéral rentra triomphalement au pouvoir, il eût pu tout demander; il n'accepta rien. Lorsque, dix-huit mois plus tard, il se laissa nommer sous-secrétaire d'
Sur la véracité de cet auteur et les sources où il a puisé, voyez Ellis, Intr. metrical romances; Turner, Quarterly review, janvier 1820; Delarue, Bardes armoricains; et surtout la dernière édition de Warton , avec notes de Douce et de Park; voyez aussi les critiques de Ritson, quelques passages des poésies de Marie de France, publiés par M. de Roquefort, 1820, etc.
Diable, diable! fit-il. Cependant... oui, c'est cela. Park Lane! je comprends... A droite!
Son bonnet de fourrure gaillardement incliné sur l'oreille, son bâton court sous le bras gauche, le policeman Patrick O'Hara, hume le brouillard du Central Park; lui du moins il est heureux de vivre. Cette belle matinée, qui lui rappelle Erin la Verte, a débuté par une dîme prélevée sur le bar de la 109e rue; maintenant, c'est une faction de quatre heures, ou plutôt une flânerie
«Dans ce sachet, je conserve encore de quoi entretenir cette propreté, cette élégance personnelles qui a fait de moi, si je puis le dire, l'homme le mieux astiqué qui ait jamais mis le pied dans Saint James Park. Il y a l
Quand j'étais las de conversations diplomatiques, de dépêches, de visites et d'isolement dans ma maison, j'allais me promener seul, dans les parcs de Londres, ou plus loin, aux environs de la ville. Regent's Park surtout me plaisait; il est loin des quartiers populeux; l'espace est immense, la verdure fraîche, les eaux sont claires, les massifs d'arbres encore jeunes. Je trouvais l
C'est dans Clinton avenue que demeurent les grands-parents de mon ami. Qu'ils sachent que j'ai été touché, quand on m'a présenté, de voir que je n'étais pas un étranger dans cette maison et que mon nom leur était bien connu. Vers cinq heures, nous étions de retour chez mon ami, dans Park avenue, une des plus belles de New-York. Après dîner, nous allâmes un instant au Casino.
Le lunch terminé, les roufles se peuplèrent de nouveau. Les gens se saluaient au passage ou s'abordaient comme des promeneurs de Hyde Park. Les enfants jouaient, couraient, lançaient leurs ballons, poussaient leurs cerceaux, ainsi qu'ils l'eussent fait sur le sable des Tuileries. La plupart des hommes fumaient en se promenant. Les dames, assises sur des pliants, travaillaient, lisaient ou cousaient ensemble. Les gouvernantes et les bonnes surveillaient les bébés. Quelques gros Américains pansus se balançaient sur leurs chaises
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