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Mis à jour: 7 octobre 2025
Qui donc, depuis la fin de février jusqu'au 18 mars, presque chaque jour, au passage des trains dans les gares des campagnes, jetait ces bruits: On se bat dans Paris! Paris est en feu! Ce qui faisait dire aux paysans avec rage: Après tant de malheurs, ces brigands de Parisiens ne nous laisseront donc point vivre en paix!
Quant aux aimables Parisiens déj
Un mot encore le dernier sans doute sur la question des chênes porte-gui. Nos lecteurs parisiens nous sauront gré de leur signaler un chêne de cette espèce qui se trouve très
La pure artiste, si aimée des Parisiens, que dès longtemps avaient séduits ses danses où la beauté des gestes sait exprimer toute la richesse des rythmes musicaux nos lecteurs se souviennent avec quel bonheur elles furent restituées, naguère, dans les dessins donnés
Tout cela réuni faisait que Chopin, si intimement lié avec quelques-unes des personnalités les plus marquantes du mouvement artistique et littéraire d'alors que leurs existences semblaient n'en faire qu'une, resta néanmoins un étranger au milieu d'elles. Son individualité ne se fondit avec aucune autre. Personne d'entre les Parisiens n'était
Ce décret, parisiens, on l'exécute sur vous. En supprimant Paris, on mutile le monde. L'attaque s'adresse urbi et orbi. Paris éteint, et la Prusse ayant seule la fonction de briller, l'Europe sera dans les ténèbres. Cet avenir est-il possible? Ne nous donnons pas la peine de dire non. Répondons simplement par un sourire. Deux adversaires sont en présence en ce moment.
Nulle part cette disposition si contradictoire des esprits, chez les législateurs parisiens et chez les populations rurales, ne se montra plus accentuée que dans les contrées catholiques de l'Alsace. Chez nous, le décret du 2 novembre 1789 suffit,
Il va de soi que les artistes parisiens, depuis le départ, ont noué des relations agréables avec les principaux fonctionnaires de Standard-Island. Tous, aussi bien le gouverneur, le commodore et le colonel Stewart que les ingénieurs en chef Watson et Somwah, se sont empressés de leur faire le plus sympathique accueil. Rendant souvent visite
Il dessinait des méandres imprévus dans les flots d'équipages de toutes les formes qui criaient sur les deux rives de l'avenue. On se demandait toujours si ses chevaux avaient pris le mors aux dents. Les dilettantes parisiens, qui ne pouvaient entrer en lutte, se consolaient en disant que cela finirait par une catastrophe.
Un autre critique s'attendrit sur le malheur de ce pauvre ancien maître dont l'inspiration musicale se révèle aux Parisiens après cent soixante treize ans d'obscurité. «Car, dit-il, aucun de nous n'avait encore entendu parler de lui, et le Dictionnaire biographique des musiciens de M. Fétis, où se trouvent pourtant des choses si extraordinaires, n'en fait pas mention!»
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