Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 8 juillet 2025


Pardonnez, mademoiselle, la hâte avec laquelle je vous écris: vous êtes la septième aujourd'hui, et je n'ai pas le temps de vous faire mes excuses comme je le voudrais. Si votre intention est de faire reprendre votre manuscrit chez moi et que je sois absente, comme il est probable, veuillez faire réclamer le153, on le trouvera cacheté et en ordre. Nohant, 5 novembre 1849.

Pourquoi diantre fait-on apprendre le latin aux jeunes gens de famille? Mala: mauvaise. Vous comprenez, c'est tout un. Vous me pardonnez, n'est-ce pas, monsieur de Malicorne? Votre bonté me touche, monsieur; mais c'est une raison pour que je vous dise une chose tout de suite. Quelle chose, monsieur?

Allons, allons, Henriette, laissez parler votre coeur, souvenez-vous que vous m'avez aimé, souvenez-vous que le coeur des humains doit être aussi miséricordieux que le coeur du souverain Maître. N'ayez point d'inflexibilité pour les autres; pardonnez

«Pardonnez, compatissant étranger! vous savez que les malheureux aiment

Cher Lindorf, lui dit-il, lorsqu'il fut un peu calmé, vous partagez trop vivement mes chagrins; je crains même d'avoir rouvert, sans le savoir, la plaie de votre coeur: peut-être aussi quelque lettre cruelle... Ah! je devais encore me taire, et vous cacher ce fatal secret; vous avez assez de vos peines. Je vous ai mal connu quand j'ai pensé que les miennes seraient un motif de consolation; je vois au contraire qu'elle les aggravent. Pardonnez, cher et sensible Lindorf, cette preuve de votre amitié, du vif intérêt que vous prenez

Oh! Sire, pardonnez

CORIOLAN. O Mars, l'entends-tu? AUFIDIUS. Ne nomme point ce dieu, toi, enfant larmoyant. CORIOLAN. Ah! dieux! AUFIDIUS. Un enfant, rien de plus. CORIOLAN. Insigne menteur, tu fais gonfler mon sein d'une rage qu'il ne peut plus contenir. Moi, un enfant? O lâche esclave! Pardonnez, illustres sénateurs; c'est la première fois que j'aie jamais été forcé de quereller en vaines paroles.

Soyez miséricordieux et pardonnez

C'est vrai... Oui... C'est vrai... dit Romane s'eveillant comme d'un songe. J'étais fou! Le danger m'avait ôté la raison! Pardonnez-moi, très chers amis, les terreurs que j'ai fait naître en m'y livrant moi-même... Pardonnez. Et vous, mon cher Dérigny, recevez tous mes remerciements; je vous suis sincèrement reconnaissantRomane lui serra fortement les deux mains.

Crillon, effrayé, l'entoura de ses bras, le ranima, le caressa comme un enfant. Eh bien, dit-il, ne parlons plus des femmes; vous les défendez, vous leur pardonnez, soit. On ne fera pas mention d'elles. À personne, murmura Espérance. Pas même au roi. Êtes-vous content? Merci, dit faiblement le blessé avec un regard de tendre reconnaissance.

Mot du Jour

betlem

D'autres à la Recherche