Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 6 juin 2025
La réponse de M. Bresson, sa première lettre de Madrid, fut singulièrement perplexe et triste : «Je suis arrivé ici hier, quelques heures avant votre lettre du 3. Il n'est sorte de tribulations, d'épreuves, d'accidents que nous n'ayons subis. J'ai passé par les plus cruelles inquiétudes pour les êtres qui me sont le plus chers. Les routes sont infestées de brigands, et quelques relais très-dangereux, que nous parcourions de nuit, avaient été par méprise laissés sans escorte. Mon fourgon a été versé, une roue brisée; nous l'avons relevé
J’ai plusieurs fois été, moi second ou troisième, me promener dans l’intérieur. Je me croyais transporté dans le jardin d’Eden: nous parcourions une plaine de gazon, couverte de beaux arbres fruitiers et coupée de petites rivières qui entretiennent une fraîcheur délicieuse, sans aucun des inconvénients qu’entraîne l’humidité. Un peuple nombreux y jouit des trésors que la nature verse
Il nous semble que cela date d'hier et pourtant ces enfants sont assez grands pour atteindre jusqu'aux prunes du jardin, pendant que nous allons chercher une échelle, et ces routes que nous parcourions en tenant leurs petites mains dans les nôtres, nous sommes heureux d'y repasser, en nous appuyant sur leur bras.
La contrée que nous parcourions était belle: formée de collines basses, ondulantes, bien cultivée et arrosée par de nombreux petits cours d'eau. Nous franchîmes la rivière de Brue sur un bon pont de pierre et nous arrivâmes enfin
Ainsi nous parcourions les contours de l'onde croupissante, et nos yeux plongeaient sur la foule des coupables, lorsque nous arrivâmes au pied d'une tour.
Peu de temps après cet entretien, nous parcourions l'édition du soir de la Gazette des tribunaux, quand les paragraphes suivants attirèrent notre attention: «DOUBLE ASSASSINAT DES PLUS SINGULIERS.
Il y avait près d'une heure que nous parcourions les vastes et riches appartements d'un genre tout nouveau pour nous, qu'une détonation terrible se fit entendre: ce bruit partait d'une place au-dessous de l'endroit où nous étions. La commotion fut tellement forte, que nous crûmes que nous allions être anéantis sous les débris du palais. Nous descendîmes au plus vite et avec précaution, mais nous fûmes saisis en ne voyant plus les deux hommes que nous avions placés en faction. Nous les cherchâmes assez longtemps; enfin nous les retrouvâmes dans la rue: ils nous dirent qu'au moment de l'explosion, ils s'étaient sauvés au plus vite, croyant que toute l'habitation allait s'écrouler sur nous. Avant de partir, nous voulûmes connaître la cause de ce qui nous avait tant épouvantés; nous vîmes, dans une grande place
À peine le généralissime et son état-major eurent-ils quitté l'armée, que la nuit nous surprit. Masséna n'avait qu'un œil et n'était pas bon écuyer. De grosses pierres et des quartiers de rochers couvraient le chemin que nous parcourions; il fallut donc marcher pendant plus de deux heures au pas, dans l'obscurité, pour faire les cinq lieues qui nous séparaient de Mortagoa, où le maréchal avait dépêché le commandant Pelet pour annoncer son retour. Pendant ce trajet, je fis de bien tristes réflexions sur les suites que devait avoir la bataille qu'on allait engager le lendemain dans des conditions aussi désavantageuses pour l'armée française!... J'en fis part
Mot du Jour
D'autres à la Recherche