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Mis à jour: 27 mai 2025
«Leur fureur va éclater; tous leurs membres palpitent, agités par la colère; leurs yeux remplis de sang brillent comme le lotus rouge; leurs joues pâles, leurs fronts plissés, ressemblent
Les hommages que les Polonaises ont inspirés ont toujours été d'autant plus fervents, qu'elles ne visent pas aux hommages; elles les acceptent comme des pis-aller, des préludes, des passe-temps insignifiants. Ce qu'elles veulent, c'est l'attachement; ce qu'elles espèrent, c'est le dévouement; ce qu'elles exigent, c'est l'honneur, le regret et l'amour de la patrie. Toutes, elles ont une poétique compréhension d'un idéal qu'elles font miroiter dans leurs entretiens, comme une image qui passerait incessamment dans une glace et qu'elles donnent pour tâche de saisir. Méprisant le fade et trop facile plaisir de plaire seulement, elles voudraient avoir celui d'admirer ceux qui les aiment; de voir deviné et réalisé par eux un rêve d'héroïsme et de gloire qui ferait de chacun de leurs frères, de leurs amoureux, de leurs amis, de leurs fils, un nouveau héros de sa patrie, un nouveau nom retentissant dans tous les cœurs qui palpitent aux premiers accents de la Mazoure liée
Oui, le heurtement de leurs regards alanguis d'une immense tendresse, mouillés de luxure, sous les cils qui palpitent ainsi que des ailes, se promettant, s'abandonnant, s'attardant passionnément, ardemment sur les lèvres de l'amie, sur les pointes de sa gorge, sur les plis mystérieux de son corps, parlant, s'épanchant, suppliant, les leurraient d'un mirage d'apothéose, le frottement furtif des mains, du poignet les brisaient, les enivraient, leur donnaient toute la joie, toute la lassitude divine de la possession.
O vous qui portez le signe redoutable des défaites innombrables de mon coeur, Sulamites aux tempes nimbées d'ébène, je dirai, puisque cela vous amuse, l'ineffable torture où me mit la contemplation de vos grâces triomphantes. Tandis que, dans le teint des blondes, roule comme un Pactole de lait où palpitent, ça et l
Altesse de Castille, Altesse d'Aragon, Roi, reine! ô notre maître, et vous, notre maîtresse, Nous, vos tremblants sujets, nous sommes en détresse Et, pieds nus, corde au cou, nous prions Dieu d'abord, Et vous ensuite, étant dans l'ombre de la mort, Ayant plusieurs de nous qu'on va livrer aux flammes, Et tout le reste étant chassé, vieillards et femmes, Et, sous l'oeil qui voit tout du fond du firmament, Rois, nous vous apportons notre gémissement. Altesses, vos décrets sur nous se précipitent; Nous pleurons, et les os de nos pères palpitent; Le sépulcre pensif tremble
Il avait la bienséance de la vérité; il plaisait, il intéressait, il émouvait; on sentait, dans sa mâle beauté, le fils d'une de ces belles Arlésiennes, statues vivantes de la Grèce, qui palpitent dans notre Midi.
«Non!... Ce n'est que dans les nuits désespérées, noires et désolatrices, aux airs inspirateurs de mourir, où nul regret des choses perdues, nul désir des choses rêvées ne palpitent plus dans l'être, hormis l'amour seul; c'est seulement en ces sortes de nuits qu'un aussi rouge éclair peut luire, sillonner l'étendue et anéantir ceux qu'il frappe! C'est en ce vide seul que l'Amour, enfin, peut librement pénétrer les cœurs et les sens et les pensées au point de les dissoudre en lui d'une seule et mortelle commotion! Car une loi des dieux a voulu que l'intensité d'une joie se mesurât
Un homme monte seul sur le bastingage du vent: c'est le Capitaine-Noir. Il va parler. Tous ses gens palpitent d'impatience; et de peur de perdre un seul mot, ils retiennent leur souffle dans leurs poitrines haletantes....
Les vagues humaines se gonflent vers le ciel, et dans les corps transfigurés les cœurs palpitent comme des roses au vent du matin, et les yeux sont vraiment de pures améthystes: des nuages candides dérobent les ventres frissonnants d'amour et tout s'apothéose dans la blancheur totale. LE CH
Il frappe du pied, et tourne au milieu des roches d'un pas rapide, puis s'arrête hors d'haleine, éclate en sanglots et se couche par terre, sur le flanc. La nuit est calme; des étoiles nombreuses palpitent; on n'entend que le claquement des tarentules. Les deux bras de la croix font une ombre sur le sable; Antoine, qui pleure, l'aperçoit. Suis-je assez faible, mon Dieu! Du courage, relevons-nous!
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