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La grande silhouette du minaret se dressait toute blanche dans le bleu sombre du ciel. Les palmiers passaient leur tête chevelue derrière les terrasses, et dans les interstices des troncs noirs éclataient encore les flamboiements de l'Occident. Des cigognes perchées sur une patte, immobiles comme le temps au-del

Presque toutes ont plus d'un mètre de long: elles sont renversées sur le dos, et regardent avec des yeux languissants qui inspirent la compassion. Un grand nombre de négresses viennent nous offrir des paniers et des éventails en feuilles de palmiers.

S'il pouvait vivre encore, qu'il serait heureux de ce pays d'enchantement qui l'entoure et comme il y trouverait ses rêves épanouis. Le long de ces pentes fleuries qui montent en serpentant vers le ciel, son esprit d'illusion croirait voir la Vierge avec Jésus gravissant la rude montagne pour se diriger vers Bethléem. Voici les palmiers qui abritèrent l'enfance du Christ.

Nous nous dirigeâmes vers un bois de palmiers qui couronnait le sommet de la colline. Avant d'y atteindre, nous eûmes

Sous un ciel toujours le même, dans une plaine sans bornes, des palmiers droits ombragent les rives d'un fleuve large et muet: le musulman s'y fait asseoir sur des carreaux, il y fume tout le jour entre les éventails qu'on agite devant lui.

On n'avait pu faire de lever du terrain. Le général nous indiqua, comme point de direction, un bouquet de palmiers

Quelques palmiers nains, des musas et autres végétaux de l'Inde, aux feuilles épaisses et d'un vert métallique, disposés en bosquets dans cette serre chaude, servent de perspective et pour ainsi dire de fond

Je crois que le palmier me fut rappelé pour la première fois par une gravure des Jeunes Naturalistes, de madame Ulliac-Trémadeure, un de mes livres d'étrennes dont je me faisais lire des passages le soir. (Les palmiers de serre n'étaient pas encore venus dans notre petite ville, en ce temps-l

Après avoir franchi la chaîne lybique, nous nous engageâmes dans le désert. Il ne faudrait pas croire comme je me l'imaginais moi-même, que ces plaines et ces vallées qui se succèdent pendant des journées entières soient complétement dépourvues de végétation. On y trouve, très-disséminés il est vrai, des bouquets de palmiers nains et parfois des dattiers.

Quand les ombres du soir dessinèrent les contours de la ville, que je pus distinguer ces deux ports, ces grandes murailles flanquées de nombreuses tours, qui n'enferment plus que des mornes de sables, et quelques jardins le vert pâle des palmiers tempère