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Mis à jour: 27 juin 2025
Alors, Maurice, les jambes cassées de fatigue, s'assit sur un banc. La ville, autour de lui, semblait vivre de sa vie quotidienne, et des bonnes, sous les beaux arbres, surveillaient des enfants, tandis que les petits rentiers faisaient d'un pas ralenti leur habituelle promenade. Il avait repris ses journaux, lorsqu'il tomba sur un article qui lui avait échappé, l'article d'une feuille ardente de l'opposition républicaine. Brusquement, tout s'éclaira. Le journal affirmait que, dans le conseil du 17, tenu au camp de Châlons, la retraite de l'armée sur Paris avait été décidée, et que la nomination du général Trochu n'était faite que pour préparer la rentrée de l'empereur. Mais il ajoutait que ces résolutions venaient de se briser devant l'attitude de l'impératrice-régente et du nouveau ministère. Pour l'impératrice, une révolution était certaine, si l'empereur reparaissait. On lui prêtait ce mot: «il n'arriverait pas vivant aux Tuileries». Aussi voulait-elle, de toute son entêtée volonté, la marche en avant, la jonction quand même avec l'armée de Metz, soutenue d'ailleurs par le général de Palikao, le nouveau ministre de la guerre, qui avait un plan de marche foudroyante et victorieuse, pour donner la main
Kin-Fo était dans les bras de Wang, qui le pressait fortement sur sa poitrine. «Mon pauvre Wang, disait Kin-Fo, très ému, si encore j'avais couru tout seul! Mais quel mal je t'ai donné! Combien il t'a fallu courir toi-même, et quel bain je t'ai forcé de prendre au pont de Palikao!
Dix-huit ans plus tôt, le 21 septembre 1860, ils n'auraient pas eu leurs coudées franches sur ce pont de la province de Pé-Tché-Li. La grande chaussée était alors encombrée de fuyards d'une autre espèce. L'armée du général San-Ko-Li-Tzin, oncle de l'empereur, repoussée par les bataillons français, avait fait halte sur ce pont de Palikao, magnifique oeuvre d'art,
Le ministère Olivier n'existe plus. C'est le général Cousin-Montauban, comte de Palikao, le vainqueur de la Chine, qui est le chef du nouveau cabinet. C'est un grand bien, car, ainsi que le dit M. Beaudrain, dans la situation actuelle, la plume doit faire place
Votre ami dévoué. Août 1870. Mon cher ami, On crie dans la rue la mort du prince Frédéric-Charles, mais ce n'est pas officiel, je crois. Les choses vont mieux. Le langage de Trochu me plaît. Palikao dit: «J'ai nommé: j'ai envoyé», et l'autre voyage en 3e classe. Il a bu un verre d'vin avec le chef de gare de Verdun. Quelle fin!... Votre ami qui vous aime de tout cœur.
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