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Mis à jour: 23 mai 2025
En 1870, les armées du prince Frédéric-Charles et du Prince Royal purent, après les journées de Sedan et de Metz, atteindre la capitale, sans coup férir, en suivant le cours de tous les affluents de la Seine.
Votre ami dévoué. Août 1870. Mon cher ami, On crie dans la rue la mort du prince Frédéric-Charles, mais ce n'est pas officiel, je crois. Les choses vont mieux. Le langage de Trochu me plaît. Palikao dit: «J'ai nommé: j'ai envoyé», et l'autre voyage en 3e classe. Il a bu un verre d'vin avec le chef de gare de Verdun. Quelle fin!... Votre ami qui vous aime de tout cœur.
Ça vous donne froid dans le dos. On assure que, de la splendide armée du prince Frédéric-Charles, il ne reste que des débris. Et le ministre de la guerre a annoncé au Corps législatif que le corps entier des cuirassiers blancs de M. de Bismarck a été anéanti. Il n'en subsiste pas un.
Dehors, Maurice tâcha de se procurer des journaux. Il se bourra les poches de tous les numéros qu'il put acheter; et il les lisait en marchant, sous les grands arbres des magnifiques promenades qui bordent la ville. Où étaient donc les armées allemandes? Il semblait qu'on les eût perdues. Deux sans doute se trouvaient du côté de Metz: la première, celle que le général Steinmetz commandait, surveillant la place; la seconde, celle du prince Frédéric-Charles, tâchant de remonter la rive droite de la Moselle, pour couper
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