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Sonia, Natacha, Pétia, Anna Mikhaïlovna, Véra, le vieux comte, tous le serraient dans leurs bras

«Vassili Fédorovitch, dit-il en se rapprochant de Denissow, vous me confierez un petit commandement, n'est-ce pasDenissow, qui avait presque oublié l'existence de Pétia, le regarda avec surprise: «Je ne te demande qu'une chose, lui dit-il sévèrement: c'est de m'obéir et de ne pas te fourrer l

Et puis, je t'en prie, mon ami, repasse-moi un peu mon sabre, il est émou.... Pétia s'arrêta au moment il allait dire un mensonge, car le sabre n'avait jamais été aiguisé. Peux-tu me le repasser? Pourquoi pas? On peutLikhatchow se leva, fouilla dans les bâts; et Pétia grimpa sur le fourgon pour mieux suivre le travail du cosaque. «Est-ce qu'ils dorment, les camarades? lui demanda-t-il.

«Hourra! mes enfantss'écria Pétia, et, talonnant son cheval couvert d'écume, il enfila la rue du village.

Le cosaque leva la main, un coup de feu retentit, et au même instant les chevaux partirent au galop, pendant que d'autres coups de feu éclataient de tous côtés. Pétia fouetta son cheval en lui rendant la main, et s'élança en avant sans écouter Denissow qui l'appelait. Il lui avait semblé qu'au moment du signal la lumière avait paru et qu'il faisait jour comme en plein midi. Il atteignit le pont que les cosaques avaient dépassé, bouscula un traînard, et continua son galop effréné. Devant lui, des hommes, des Français, sans doute, traversaient la route de droite

Lorsqu'elle entra dans le salon, son père sortait de la chambre de la comtesse. Sa figure contractée était couverte de larmes; en apercevant sa fille, il fit un geste désespéré, et éclata en sanglots déchirants, qui bouleversaient sa bonne et placide figure: «Pétia, Pétia!... Va! Va! Elle t'appellePleurant

Enfin la foule s'ébranla, en entraînant Pétia avec elle, et le déposa sur la place, encombrée de curieux. Il y en avait partout, et jusque sur les toits des maisons. Arrivé l

Le petit tambour, après avoir reçu sa portion de mouton, fut revêtu d'un caftan russe, pour ne pas être renvoyé avec les prisonniers, et l'attention de Pétia fut détournée de lui par l'arrivée de Dologhow. Il avait beaucoup entendu parler de la bravoure et de la cruauté de ce dernier

Les rêveries de Pétia l'avaient, en attendant, transporté dans un monde féerique rien ne rappelait la réalité. Cette grande tache noire, qu'il voyait

Es-tu bête, Pétia! Pas plus bête que vous, madamereprit le gamin de neuf ans du ton d'un vieux brigadier.