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Mis à jour: 27 mai 2025
Ainsi parla le Pèlëide, et il jeta contre terre le sceptre aux clous d'or, et il s'assit. Et l'Atréide s'irritait aussi; mais l'excellent agorète des Pyliens, l'harmonieux Nestôr, se leva.
Et Phoibos Apollôn dit au Pèléide: Pèléide aux pieds rapides, toi qui n'es qu'un mortel, pourquoi poursuis-tu un dieu immortel? Ne vois-tu pas que je suis un dieu? Mais ta fureur n'a point de fin. Ne songes-tu donc plus aux Troiens que tu poursuivais, et qui se sont enfermés dans leur ville, tandis que tu t'écartais de ce côté? Cependant tu ne me tueras point, car je ne suis pas mortel.
Le Pèléide parla ainsi, et de rapides cavaliers se levèrent. Et, le premier, se leva le roi des hommes, Eumèlos, le fils bien-aimé d'Admètès, très habile
Il parla ainsi, et il poussa violemment la lance d'airain contre le terrible bouclier, dont l'orbe résonna sous le coup. Et le Pèléide, de sa main vigoureuse, tendit le bouclier loin de son corps, craignant que la longue lance du magnanime Ainéias passât au travers. L'insensé ne songeait pas que les présents glorieux des dieux résistent aisément aux forces des hommes.
Mais dès qu'Agènôr eut reconnu le destructeur de citadelles Akhilleus, il s'arrêta, roulant mille pensées dans son esprit, et il se dit dans son brave coeur, en gémissant: Hélas! fuirai-je devant le brave Akhilleus, comme tous ceux-ci dans leur épouvante? Il me saisira et me tuera comme un lâche que je serai. Mais si, les laissant se disperser devant le Pèléide Akhilleus, je fuyais
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